Remerciements

Je tiens à exprimer toute ma gratitude à mon éditeur, Daniel Bertrand, pour m’avoir soufflé l’idée de cet ouvrage et fait renouer avec le genre romanesque. Ma reconnaissance va également à sa sympathique équipe, dévouée, créative et surtout patiente.

J’adresse mes chaleureux remerciements aux personnes qui m’ont accompagnée durant ma rédaction : Jean-Louis Morgan, journaliste, romancier, biographe et traducteur québécois ; Françoise Boixière, poète, romancière et éditrice bretonne ; Richard Poirier, compositeur québécois.

Un grand merci à ceux qui ont généreusement partagé leurs connaissances : Gil Gianone, historien-conférencier français ; Lucie Morisset, professeure titulaire au département d’Études urbaines et touristiques de l’Université du Québec à Montréal (UQÀM) ; Gilles Lesage, directeur du Centre du Patrimoine de Saint-Boniface et animateur du site Internet éponyme ; les directeurs des sites du musée de Saint-Joseph et de The Historical Society of Manitoba, à Winnipeg ; Brian Hogue, mycologue manitobain ; Sylvie Toussaint-Cavan et Barthélemy Toussaint (France).

Si Gabrielle Roy a effectivement possédé un cahier rouge dans sa jeunesse, il doit aussi à celui de mon amie Monik Loarer, professeure de lettres en Bretagne et à Madagascar, qui y écrivait des saynètes de théâtre pour ses camarades de classe.

L’œuvre romanesque et historique de feu mon amie Marie-Anna Roy (Adèle ; 1895-1998), demeure une source d’inspiration constante. J’espère que, du haut de son ciel, elle ne m’en voudra pas trop d’avoir évoqué l’époque difficile de sa mésentente avec sa sœur Gabrielle Roy.

Enfin, je présente mes excuses aux habitants du charmant village de Marchand (Manitoba), qui, pour les besoins de la forme romanesque, s’est transformé en une commune si peu avenante.