L FÉRIÉ, ÉE adj. est une réfection (XIVe s.) de feirié, foirié (1170, n. ; mil. XIIe s., jour foirié), issu du latin classique feriatus « oisif », « de loisir », en latin chrétien « (jour) de fête ». Feriatus est le participe passé de feriari « être en fête, en repos », dérivé de feriae « jours consacrés au repos » (→ foire). Sur feirié avait été formé feirier v. intr. « chômer » (v. 1150).
❏  Le mot, rare jusqu'en 1690 (Furetière), se dit d'un jour chômé ; son importance a crû au XXe s. avec le droit du travail, et il est entré dans le vocabulaire de l'emploi social du temps, avec fête, pont, week-end, etc.
L FÉRIR v. tr. est issu (2e moitié Xe s.) du latin ferire « frapper », qui se rattache à une racine indoeuropéenne °bher- « percer ».
❏  Usuel jusqu'au XVIe s., le verbe a été éliminé par frapper ; il a signifié « se faire aimer de » (fin XIIe s.), littéralement « frapper au cœur ». ◆  Il s'est pourtant conservé dans la locution sans coup férir (déb. XIIIe s., « sans combattre ») s'employant aujourd'hui au sens de « sans difficulté ».
❏  FÉRU, UE adj. (XIe s., « blessé ») s'est utilisé par métaphore au sens d'« épris » (1433), d'où par extension (1651) « passionné pour qqch. ».
? FERLOUCHE n. f., attesté depuis 1917 en français du Canada, est d'origine inconnue.
❏  Le mot désigne un mélange de mélasse et de raisins secs pour garnir une tarte. On dit et on écrit aussi farlouche.
L 1 FERME adj. et adv. est issu (v. 1140) du latin firmus « solide, résistant » au propre et au figuré, mot d'origine obscure. La forme masculine ferm disparaît avant le XIVe siècle.
❏  L'adjectif reprend les sens latins, au propre (1140) et au figuré, « sûr, assuré » (1160).
❏  L'adverbe (XIVe s.), d'abord écrit ferm (1180), coexiste avec le dérivé FERMEMENT adv. (v. 1130), au sens d'« avec force », et signifie « beaucoup » (XXe s., travailler ferme).
FERMETÉ n. f. est un emprunt au dérivé latin classique firmitas « solidité », puis « forteresse » en latin chrétien (776) ; il a repris ce sens (1165), comme FERTÉ n. f. (XIIe s.), forme issue du latin et conservée dans des noms de localités. Fermeté a ensuite le sens de « solidité » (1200, fermeteit) et au figuré (1265) d'« assurance », d'« autorité ».
Les composés AFFERMIR v. tr. (1372) et RAFFERMIR v. tr. (1394, « consolider ») s'emploient aux sens concret et abstrait pour « rendre (plus) ferme », ainsi que leurs dérivés AFFERMISSEMENT n. m. (1551) et RAFFERMISSEMENT n. m. (1669), ainsi que AFFERMISSANT, ANTE adj. et RAFFERMISSANT, ANTE adj. (1904 au figuré).
2 FERME n. f. dérive (v. 1160) du verbe fermer, au sens figuré en ancien français d'« établir d'une manière solide, ferme » (→ fermer). On relève dans le domaine anglo-saxon le latin médiéval firma « bail à ferme » (1100).
❏  Ferme est d'abord un terme juridique qui désigne une convention par laquelle un fonds est donné à bail ; ensuite, par métonymie (1539), le mot désigne le domaine rural ainsi loué et de là toute exploitation ou ses bâtiments. Ferme a eu le sens juridique abstrait de « convention d'exploitation d'un droit » (1481), important sous l'Ancien Régime puisque les impôts indirects étaient mis à ferme (Cf. la Ferme générale établie par Colbert). ◆  Aujourd'hui, sauf en droit et en agriculture, le sens dominant et seul usuel est « maison d'habitation d'une exploitation agricole ».
❏  FERMIER, IÈRE n. a suivi l'évolution de ferme : ce nom désigne au masculin celui qui tient à ferme un droit (1207 ; ensuite fermier général, 1690) ou une exploitation agricole (1282) puis, aux deux genres et couramment, la personne qui exploite des terres, qu'elle en soit ou non propriétaire (1679). Le mot s'emploie en apposition pour « relatif à la ferme » (1878 ; 1895, beurre fermier).
Le dérivé FERMAGE n. m. (1367) désigne le mode d'exploitation par ferme et, par métonymie, le loyer d'une ferme.
Le diminutif 1 FERMETTE n. f. (1941) s'emploie plutôt pour un bâtiment aménageable en maison de campagne qu'au sens normal de « petite ferme » : le contexte est celui des loisirs bourgeois, non du monde rural.
Le composé AFFERMER v. tr. est aussi un terme juridique (v. 1170) ; dans l'ancienne législation, c'est concéder le droit de percevoir des impôts. C'est aussi donner à ferme, louer un domaine rural ou, couramment aujourd'hui, un espace publicitaire.
■  AFFERMAGE n. m. (anciennt afferme n. f., 1313) en dérive (1794 ; 1489, « engagement d'un serviteur pour un temps déterminé »).
3 FERME n. f. → FERMER
FERMENT n. m. est un emprunt (XIVe s.) au latin fermentum « levain », de la famille de fervere « bouillir » (→ ferveur).
❏  Le mot apparaît (1380) au sens métaphorique de « levain », pour « ce qui détermine (un sentiment, une idée, un changement) », par exemple dans un ferment de discorde. Il n'est attesté qu'au XVIe s. (1575) au sens latin concret de « levain » puis de « principe qui modifie un corps en l'altérant, en le faisant gonfler ». Avec la chimie et la biologie moderne, on parle (XIXe s.) de ferments figurés (micro-organismes) et de ferments solubles (leurs sécrétions), enfin de ferment pour tout agent de la fermentation (par exemple chez Pasteur, 1861 : « le ferment botyrique est un infusoire... »). Le mot a vieilli, ferment soluble étant remplacé par diastase, puis par enzyme.
❏  FERMENTER v. intr., emprunté au dérivé latin fermentare, s'emploie au propre (1270) et au figuré (1798), comme FERMENTATION n. f. (1539, « bouillonnement, effervescence ») formé à partir du latin chrétien fermentatio (du supin de fermentare) ; le mot désigne l'action de faire fermenter d'où « effervescence » (1690) et au figuré l'altération, le mélange (déb. XVIIIe s.). Avec le sens concret il devient terme de chimie pour « altération de composition » (XVIIIe s.) puis « transformation moléculaire sous l'influence d'un ferment », au sens pris par ferment en biologie au XIXe s. : fermentation vineuse, alcoolique, lactique, étudiées par Pasteur en 1857.
Du verbe dérivent FERMENTATIF, IVE adj. (1691), sorti d'usage, et FERMENTABLE adj. (1824).
FERMENTESCIBLE adj. est un dérivé savant (1764) du latin fermentescere « entrer en fermentation », dérivé de fermentum.
L + FERMER v. tr. et intr. est issu (1080) du latin classique firmare « rendre ferme, solide », d'où « fortifier » et « clore » en bas latin ; firmare, qui dérive de firmus (→ 1 ferme), s'emploie par figure pour « confirmer », « assurer ».
❏  En ancien français, fermer (tr.) signifie « fixer, attacher » (1080), « construire (un château) » (1155), « fortifier (une place) » (v. 1160) ; de là un glissement s'effectue vers l'idée de « barricader », de « clore » (1175) et spécialement (1547) de « supprimer l'accès à qqch. », d'où vient le sens figuré « interrompre l'activité d'un commerce » et avec une valeur abstraite (1580) « mettre fin à... ». Régionalement, par survivance d'un emploi ancien (XIVe s.) considéré comme fautif, par exemple fermer qqn dehors, à Paris, aux XVIIIe et XIXe s., le verbe a, dans l'usage rural de plusieurs régions du centre de la France, du Lyonnais, de Provence, la valeur d'« enfermer », de « laisser sans possibilité d'entrer » (il est resté fermé dehors) et, à propos des choses, de « ranger, serrer ». ◆  De la notion de clôture procèdent une autre valeur figurée : « rendre infranchissable » (1606) et « être, rester fermé » (XVe s., intr.). ◆  Le participe passé adjectif s'emploie en phonétique dans voyelle fermée (1690), la distance entre la langue et le palais étant faible quand elle est prononcée.
❏  Les principaux dérivés de fermer sont FERMOIR n. m. (1260, fermoir à livre) et FERMETURE n. f., le -t- de ce dernier a été ajouté (déb. XIVe s.) par l'influence de fermeté ; l'ancien français avait connu plusieurs formes, dont fremedure (fin XIe s.), fermeüre (v. 1180) « forteresse » et « dispositif pour fermer » (1190), sens conservé. ◆  Le mot désigne (XVIIe s.) l'action de fermer, d'abord en parlant des portes d'une ville gardées par une troupe. ◆  FERMANT, ANTE adj. (XIIIe s.) qualifie un meuble, un objet, un contenant qui peut se fermer et a eu le sens de « finissant » dans à jour fermant « à la fin du jour ». On parle aussi de guillemets fermants, de parenthèse fermante, par rapport à ouvrant.
3 FERME n. f. dérive de fermer « fixer » ; ce terme technique désigne un assemblage de pièces qui portent le faîtage (1344), d'où 2 FERMETTE n. f. (1690), et un décor de théâtre monté sur châssis (1752).
Sur fermer ont été préfixés plusieurs verbes. ◆  ENFERMER v. tr. (XIIe s.) implique la suppression d'une sortie, soit que l'on place dans un milieu clos une personne pour l'empêcher de sortir, une chose pour la ranger, soit qu'on entoure qqch. (1538) de haies, de murs, etc. ; d'où le sens sorti d'usage d'« encercler » (1640) ; dans une course, enfermer un concurrent (1910), c'est « le serrer pour l'empêcher de se dégager ». Le verbe est aussi utilisé au figuré (1851), également au pronominal (av. 1778 ; s'enfermer dans le silence). ◆  Il a fourni ENFERMEMENT n. m. (1549).
■  RENFERMER v. tr. (v. 1130) a des développements parallèles au verbe simple ; ENFERMÉ, ÉE adj. (1690), en parlant de l'odeur d'un lieu mal aéré, a été supplanté par RENFERMÉ, ÉE adj. (1818). Le dernier s'appliquait par figure à une personne qui ne montre pas ses sentiments (1747).
REFERMER v. tr. a le sens de « rendre plus solide » (v. 1130 ; XVe s., pron. « se raffermir ») avant le sens moderne « fermer ce qui a été ouvert » (v. 1175), par figure au XIXe s. (v. 1873). ◆  Il a pour dérivé REFERMABLE adj. (1992) qualifiant ce qu'on peut refermer après ouverture (emballage refermable).
❏ voir FIRMAMENT.
FÉROCE adj. est un emprunt (v. 1460) au latin classique ferox, -ocis « impétueux », « orgueilleux », et en latin chrétien « cruel », dérivé de ferus « sauvage » (→ fier). Féroce et fier, doublets étymologiques, sont aujourd'hui complètement séparés par le sens.
❏  L'adjectif a repris le sens d'« orgueilleux » (v. 1460), sorti d'usage (→ fier), et celui de « cruel, sauvage » (1611) ; par extension le mot signifie « violent, impitoyable » (1694) ; il est aussi utilisé familièrement comme intensif.
❏  En dérive FÉROCEMENT adv. (1530).
FÉROCITÉ n. f. reprend (XIIIe s.) le dérivé latin ferocitas « fougue, arrogance » ; il est rare jusqu'à l'époque classique où il a parfois le sens de « fierté » (av. 1525) et d'« impolitesse brutale » (1675).
FERRAILLE, FERRER, FERROVIAIRE, FERRUGINEUX → FER
FERRY-BOAT n. m. est un emprunt du XVIIIe s. à l'anglais (1440), mot composé de ferry « endroit où l'on traverse une rivière », dérivé de to ferry « transporter » (Xe s. ; d'origine germanique), et de boat « bateau ».
❏  Le mot, attesté isolément au XVIIIe s. (1785) après ferry (1782), a été repris en 1848 de l'anglo-américain. Sous l'influence de fer, ferré (dans chemin de fer, voie ferrée), ferry-boat, d'abord pris au sens de « bac », terme proposé par l'administration (1973) pour le remplacer, désigne un navire qui transporte des trains d'une rive à l'autre (d'un fleuve, d'un lac, etc.). On dit traversier au Québec, et plus souvent par abrègement ferry en France.
❏  CAR-FERRY n. m., emprunt (1958) à un composé anglais, désigne un bateau qui transporte à la fois des passagers et des voitures.
FERTILE adj. est un emprunt (fin XIVe s., fertil) au latin fertilis « productif », « abondant », « qui fertilise », de ferre « porter » (ancient « porter dans son ventre ») et, à propos des plantes, « produire » (→ -fère). Ferre se rattache à une racine indoeuropéenne °bher- « porter » ; le suffixe -tilis est formé par analogie avec des mots comme ductilis ; on attendrait ferilis (Cf. facilis « facile »).
❏  Fertile est introduit avec le sens latin de « qui produit beaucoup » et s'emploie au figuré (av. 1455 ; 1558, un esprit fertile).
❏  FERTILEMENT adv. (XVe s.) est rare. ◆  FERTILISER v. tr. s'emploie (1558) au propre et au figuré ; en dérivent, au sens propre, FERTILISATION n. f. (1764), FERTILISANT, ANTE adj. (1771), FERTILISATEUR, TRICE adj. (1854, Nerval), littéraire, et FERTILISABLE adj. (1865).
FERTILITÉ n. f. est un emprunt (1361 ; déb. XIVe s., fertelité) au latin fertilitas « qualité d'une terre fertile » ; comme fertile, il s'emploie au figuré, en parlant de l'esprit (v. 1650).
INFERTILE adj., emprunt au dérivé bas latin infertilis, s'emploie au propre (1434) et au figuré (1594) ; il est didactique ou littéraire, comme INFERTILITÉ n. f. (1456), également emprunté au latin.
FÉRU → FÉRIR
FÉRULE n. f. est un emprunt (1372) au latin ferula, dont il reprend le sens en botanique.
❏  Le mot désigne une plante herbacée puis, d'après l'autre acception du latin, une petite palette (de bois ou de cuir) pour frapper la main d'un écolier en faute (1385), d'où tenir la férule « être régent de collège » (1865), sens sorti d'usage. Par extension férule correspond à « autorité » (v. 1666), dans la locution être sous la férule de qqn au propre et au figuré.
FERVENT → FERVEUR
FERVEUR n. f. est la réfection (XIVe s.) de fervor (fin XIIe s.), emprunt au latin fervor « bouillonnement, chaleur, ardeur », au propre et au figuré, du verbe fervere « bouillir » qui se rattache à une racine indoeuropéenne signifiant « bouillonner », proche par la forme de celle de ferre « porter » (Cf. fertile).
❏  Le français conserve de fervor son sens figuré (fin XIIe s.), spécialement en parlant du zèle religieux ; le mot s'était spécialisé à l'époque classique (1633) au sens de « passion amoureuse ».
❏  FERVENT, ENTE adj. est emprunté (v. 1190) au latin fervens « bouillonnant de chaleur » et « impétueux », participe présent de fervere ; il signifie « enthousiaste » et s'emploie spécialement dans le domaine religieux (fin XIIe s.).
■  Le dérivé FERVEMMENT adv. (XIIIe s.) est d'emploi littéraire.
L FESSE n. f. est l'aboutissement (v. 1200) du latin populaire °fissa, signifiant à la fois « anus » et « fesses » (comme cul en français), pluriel neutre, pris comme féminin, du classique fissum « fente », participe passé substantivé de findere (→ fendre). Fesse a éliminé l'ancien français nache, nage, utilisé du XIIe au XVIe s., et issu du latin populaire °natica, en latin classique natis, pluriel nates « fesses ».
❏  Fesse s'utilise dans des locutions où il est en concurrence avec derrière et le plus souvent avec cul : avoir chaud aux fesses (1743), montrer ses fesses. ◆  L'expression familière coûter la peau des fesses « coûter très cher » semble postérieure à coûter la peau (1897, A. Allais). Prendre par la peau des fesses est attesté en 1904. ◆  Par analogie, fesse désigne en marine (1736) la partie arrondie de la voûte d'un navire.
■  Le mot, dans l'usage familier, entre dans des épithètes insultantes : fesse de rat, fesse d'huître. De mes fesses (1901) est aussi un qualificatif méprisant. ◆  Le mot, absolument, désigne de manière machiste la femme, l'objet érotique. De fesse, comme de cul, s'emploie pour « pornographique ». Une expression pittoresque spécifique est pain de fesse « argent de la prostitution » (1960, Le Breton).
❏  Le mot a fourni FESSU, UE adj. (1230), « qui a de grosses fesses », 1 FESSIER n. m. familier pour « les deux fesses » (av. 1538) et 2 FESSIER, IÈRE adj. et n. m., terme d'anatomie désignant et qualifiant les muscles des fesses (1560).
FESSER v. tr. ne vient pas, malgré les apparences, de fesse. C'est un dérivé de l'ancien français faisse, fece « bande, lien », du latin fascia de même sens (→ faisceau).
❏  Le mot signifiait d'abord (1489) « battre avec des verges » ; le rapprochement avec fesse a abouti au sens moderne.
❏  Il a produit FESSÉE n. f. (1526) et FESSEUR, EUSE n. (1549), rare.
■  De même, FESSE-MATHIEU n. m. (1570), « usurier » ou « avare », aujourd'hui archaïque et utilisant une graphie ancienne (un seul t), signifie littéralement « (celui) qui bat saint Matthieu avec des verges (pour lui soutirer de l'argent) », et pas forcément sur les fesses ! Saint Matthieu était le patron des changeurs.
FESTIN n. m. est probablement un emprunt (1382 ; repris en 1527) à l'italien festino « repas de fête », diminutif de l'italien festa « fête », de même origine que le français.
❏  Il conserve le sens de l'italien.
❏  FESTINER v. intr., d'abord « offrir un festin à qqn » (1350, intr. puis v. 1583, tr.) puis « faire un festin » (1649) est sorti d'usage.
FESTIVAL n. m. est un emprunt (1830) à l'anglais festival, adjectif, « de fête » (XIVe s.) et substantif « période de fête » (XVIe s.), en particulier « fête musicale », « série de manifestations musicales », sens repris en français. Le mot anglais vient de l'ancien français festival « de fête, joyeux », dérivé du latin festivus « où il y a une fête », de festus (→ fête).
❏  Par extension, festival s'emploie en français dans d'autres arts que la musique (1930) et, par figure, désigne une manifestation complète des aptitudes, du talent de qqn, notamment dans le domaine sportif (XXe s.).
❏  Le mot a fourni FESTIVALESQUE adj. rare (1859, Berlioz), FESTIVALIER, IÈRE adj. et n. (1955) et FESTIVALIEN, IENNE adj. (1957) qui ont rapport aux festivals organisés, de musique, cinéma, etc.