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Tout juste au nord de la ville de Gatineau, qui regroupe entre autres les secteurs de Hull, d’Aylmer et de Gatineau, s’ouvre une région vallonnée, parsemée de lacs et cours d’eaux. Le magnifique parc de la Gatineau qui y niche abrite notamment la résidence d’été du premier ministre canadien et s’avère tout désigné pour de charmantes balades. Gatineau loge un des plus intéressants musées du Canada, le Musée canadien de l’histoire (anciennement le Musée canadien des civilisations).
En traversant la rivière des Outaouais à Gatineau, on accède aisément à Ottawa, la capitale fédérale, où se trouvent les édifices du Parlement canadien, de superbes bâtiments administratifs et une pléiade de musées exceptionnels.
Les transports
En autocar
Montebello : 535 rue Notre-Dame, 819-423-6311
Gatineau : 238 boul. St-Joseph, 819-771-2442
Ottawa (Ontario) : 265 Catherine St., 613-238-6668
En train
Ottawa (Ontario) : 200 Tremblay Rd., 888-842-7245, www.viarail.ca
Les principaux centres
Ce vaste domaine de 230 ha, situé à l’intérieur même des limites du parc de la Gatineau, fut pendant près de 50 ans la résidence d’été de William Lyon Mackenzie King, premier ministre du Canada de 1921 à 1930, puis de 1935 à 1948. On a dit de ce 10e premier ministre du Canada qu’il s’intéressait aux arts et à l’horticulture presque autant qu’à la politique.
Le domaine comprend deux maisons (dont l’une a été transformée en un charmant salon de thé), un superbe jardin à l’anglaise, des jardins cachés, un arc de triomphe, ainsi que de fausses ruines provenant de fragments de bâtiments du premier parlement canadien ainsi que du palais de Westminster.
De jolis petits sentiers, élaborés par Mackenzie King vers 1930, parcourent le boisé. Il aimait particulièrement se promener sur les sentiers Lauriault et de la Chute, en compagnie de son petit chien Pat, pour réfléchir ou se détendre. On y trouve entre autres une grotte ainsi qu’une petite chute.
Domaine Mackenzie-King : droit d’accès; parc de la Gatineau, 819-827-2020 ou 800-465-1867, www.ccn-ncc.gc.ca
Services et installations
Présentations audiovisuelles, guides-interprètes, panneaux d’interprétation, salon de thé.
Le parc de la Gatineau, situé au nord-ouest de Gatineau, est mal connu de beaucoup de randonneurs québécois. Situé à seulement quelques minutes de Gatineau, il compte plus de 165 km de sentiers de randonnée pédestre. Les randonnées y sont diversifiées, instructives et accessibles à tous. Depuis septembre 1992, le Sentier national passe par le parc.
Le parc de la Gatineau fut créé en 1934, durant la Crise, afin de protéger la forêt de plus de 35 000 ha des gens à la recherche de bois de chauffage bon marché. Le parc est traversé par une route longue de 34 km et ponctué de belvédères. Il compte plusieurs lacs, dont le célèbre lac Meech, qui donna son nom à une entente constitutionnelle qui ne fut finalement pas ratifiée.
Le parc de la Gatineau a vraiment tout pour plaire aux amoureux de la nature : de superbes paysages, de nombreux lacs, d’immenses plages, des sites historiques, ainsi qu’un vaste réseau de sentiers de randonnée pédestre et de vélo de montagne. L’hiver venu, le parc devient un immense centre de ski de fond qui offre près de 200 km de superbes sentiers.
Parc de la Gatineau : droit d’accès pour les plages; 819-827-2020 ou 800-465-1867, www.ccn-ncc.gc.ca/gatineau
Accès
De Gatineau, prenez l’autoroute 5 vers le nord, sortie 12 (Old Chelsea). Prenez le chemin Old Chelsea à gauche sur 3 km. Le centre d’accueil se trouve au 33 chemin Scott, à Chelsea. C’est l’entrée du parc pour toutes les randonnées, à l’exception du sentier de la Caverne-Lusk (voir plus loin).
Services et installations
Stationnements, centre d’accueil, camping, yourtes et refuges plages surveillées, aires de pique-nique, canot-camping, abris, rampe de mise à l’eau, interprétation de la nature, cartes, dépliants.
Le réseau
Le réseau compte une multitude de sentiers pour un total de plus de 165 km. Par contre, de ce nombre, 90 km sont partagés avec le vélo de montagne.
La Sucrerie 
boucle de 1,9 km
10 m
stationnement du centre d’accueil à Chelsea
Cette petite boucle sillonne une jolie érablière. On y trouve une cabane à sucre qui sert de relais.
Lauriault et de la Chute
boucle de 3 km
77 m
stationnement Lauriault, promenade Champlain, juste en face du stationnement du lac Mulvihill
Ce sentier traverse une superbe forêt d’érables et d’hêtres. Dès le début du sentier, on trouve un belvédère où il faut monter pour admirer la belle vue qu’il offre. Il faut ensuite revenir sur ses pas pour reprendre le sentier qui mène à deux autres belvédères, dont celui des chutes (superbes au printemps). Le sentier, qui change de nom pour devenir le sentier de la Chute, suit ensuite un ruisseau pour rejoindre la promenade Champlain. Il faut enfin continuer vers le lac Mulvihill et le stationnement.
Variante : après la promenade Champlain, un sentier sur la droite conduit à Moorside, au domaine Mackenzie-King.
Mont-King
boucle de 1,9 km
70 m
stationnement du sentier du Mont-King
Ce petit sentier d’auto-interprétation est jalonné de 10 stations d’observation. Le sentier du Mont-King mène à l’escarpement d’Eardley, une paroi rocheuse de 30 km de long qui s’élève à 270 m au-dessus de la vallée de l’Outaouais.
Le sentier grimpe d’abord le long du versant nord du mont King jusqu’au sommet, où cohabitent le chêne rouge et le chêne blanc (uniques au Québec). De là, la vue sur la rivière Outaouais, le lac des Montagnes et l’escarpement est tout à fait exceptionnelle. Il n’est pas rare d’apercevoir, surtout au printemps, un oiseau de proie profiter des courants d’air ascendants de l’endroit. Le sentier redescend ensuite vers le stationnement.
Champlain
boucle de 1,3 km
15 m
belvédère Champlain
Le sentier Champlain suit l’escarpement d’Eardley et mène notamment au belvédère Champlain. Après avoir traversé un ravin caractéristique du Bouclier canadien, les randonneurs découvrent un microclimat (chaleur et sécheresse) propice à la croissance de plantes rares. Le sentier passe près d’un bloc erratique qui provient de la fonte d’un glacier, pour ensuite revenir au point de départ.
Lac-Pink
2,5 km
20 m
stationnements au belvédère (accès universel) et au sentier du Lac-Pink
Ce sentier longe le lac Pink. Ce dernier fut le lieu de découverte d’un poisson marin adapté à l’eau douce ainsi que d’une bactérie préhistorique!
Le sentier a été réaménagé afin de protéger plus adéquatement les rives du lac Pink, car celui-ci était menacé. Des panneaux installés le long du sentier aident à mieux comprendre la faune et la flore du lac.
Chute-de-Luskville
boucle de 4,5 km
300 m
stationnement Luskville (par la route 148)
Ce sentier mène à une vieille tour à feu condamnée. On découvre plusieurs points de vue tout au long du parcours. De la base au sommet, les randonneurs vivront l’expérience de l’escarpement d’Eardley, cette paroi rocheuse qui s’élève au-dessus de la vallée de l’Outaouais. Le changement de végétation y est remarquable.
À la base de l’escarpement, on trouve une petite chute de 10 m de haut, nettement plus impressionnante au printemps. Puis le sentier grimpe dans la montagne en longeant le ruisseau. La forêt de feuillus, dominée par le chêne rouge, fait alors place à un magnifique peuplement de pins gris.
Caverne-Lusk
boucle de 12km
100 m
stationnement de la plage Parent (300 ch. du Lac-Philippe). Pour s’y rendre, il faut prendre la route 105 Nord vers Wakefield, puis la route 366 Ouest vers Sainte-Cécile-de-Masham et tourner à gauche à l’indication du lac Philippe (parc de la Gatineau). Des frais de stationnement sont exigés lorsque la plage est ouverte.
Important : prévoyez une lampe de poche, des chaussures et des vêtements de rechange.
L’un des sentiers les plus appréciés des randonneurs qui fréquentent le parc est celui qui mène à la caverne Lusk, située au sud du lac Philippe. Notez qu’il est peu fréquent de découvrir des cavernes dans le roc dur du Bouclier canadien. Cette caverne de marbre, vieille de plus de 12 500 ans, présente donc un intérêt particulier.
Une vraie caverne, où il fait noir et frais, que l’on parcourt le dos recourbé et les pieds dans l’eau! Appréciée des petits autant que des grands, la caverne Lusk ravivera l’explorateur qui sommeille en vous.
Le départ de la randonnée se fait au stationnement de la plage Parent, au lac Philippe. Pour débuter, il est préférable de descendre à la plage Parent et de suivre le petit sentier qui longe le lac Philippe jusqu’à la plage Smith. De là, on remonte jusqu’au terrain de camping pour y emprunter le sentier no 50, qui longe de nouveau le lac. Ce sentier en gravier est en fait un petit chemin de service du parc. Près de la barrière, un autre petit sentier conduit également, sur la gauche, à la caverne Lusk. Ce sentier sera celui du retour.
Lorsqu’on arrive au bout du lac Philippe, le calme apaisant de la nature reprend ses droits. On emprunte alors le sentier no 54, qui pénètre dans la forêt. Le sentier grimpe quelque peu et mène assez rapidement à une intersection. Si vous continuez tout droit, la caverne Lusk ne sera plus qu’à 500 m, juste après l’étang aux castors.
La caverne Lusk, du nom d’une famille de pionniers, est divisée en deux parties. La première partie de la caverne, située plus au nord, offre une randonnée facile et demande peu de temps. La voûte de cette section est assez haute pour qu’on puisse rester debout et l’eau est peu profonde.
La seconde partie de la caverne représente une excursion qui exige cependant un peu plus de préparation. Comme le niveau d’eau atteint près de 1 m et que la voûte demeure très basse à la sortie, il est préférable d’y aller pieds nus et en short. Lampe frontale sur la tête, le randonneur avance lentement dans ce monde merveilleux, en prenant soin de bien regarder où il pose les pieds. Après quelques minutes, le passage clé apparaît. De l’eau jusqu’aux cuisses, on doit incliner le tronc vers l’avant afin de ne pas heurter sa tête sur la voûte.
De retour à l’intersection, prenez le sentier à gauche en direction du lac Lusk. Au bout d’environ 1 km, tournez à droite dans le sentier no 73, qui descend à la barrière près du lac Philippe. Cette boucle, qui permet de découvrir un joli sentier, parcourt une superbe forêt de feuillus et n’ajoute que 500 m au total de la randonnée. Le retour au stationnement se fait en longeant de nouveau le lac Philippe.
Variante : il est possible d’effectuer une boucle en passant par le lac Lusk et un grand pré. Cette boucle fait 14 km au total.
Le parc national de Plaisance est très petit (28,3 km²), mais il offre calme et quiétude. Situé le long de la rivière des Outaouais, ce parc est constitué d’immenses zones marécageuses, de petits bois ainsi que de champs cultivés. Il est composé de deux presqu’îles, soit la Petite Presqu’île et la Grande Presqu’île. Ces deux presqu’îles se sont formées à la suite de la mise en service du barrage hydroélectrique de Carillon en 1966, ce qui haussa le niveau des eaux de près de 2 m.
En plus de la marche, le canot et le vélo constituent de bons moyens de transport pour explorer les richesses du parc national de Plaisance.
Parc national de Plaisance : droit d’accès; 819-427-5334 ou 800-665-6527, www.sepaq.com/pq/pla
Accès
Route 148 jusqu’à Plaisance, puis chemin des Presqu’îles.
Services et installations
Stationnements, centre d’accueil, camping, rampe de mise à l’eau, piste cyclable, aires de pique-nique, aire de jeux, panneaux d’interprétation, cartes, dépliants, locations (vélos, canots, kayaks).
Le réseau
Le réseau compte quatre sentiers de randonnée pédestre pour un total de 13 km ainsi que quatre sentiers polyvalents (marche et vélo) dont le sentier de la Petite-Presqu’île (8,5 km aller) et le sentier de la Grande-Presqu’île (4,5 km aller).
Le sentier de randonnée Zizanie des Marais forme une petite boucle de 1 km. Il tire son nom d’une plante du marais, qui est en fait du riz sauvage. Bien que ce sentier soit court, il est fort intéressant et des plus jolis. Une longue passerelle flottante survole la baie marécageuse de la Petite Presqu’île. Ce paysage offre le contraste de trois milieux importants et fort différents, soit le champ cultivé, la forêt et le marais. Le marais est évidemment grouillant de vie (nénuphar, nymphéa, grenouille verte, tortue peinte, rat musqué, martin-pêcheur, grand héron, etc.).
La zizanie des marais pousse, au printemps, à partir d’un grain de riz qui a passé l’hiver au fond du marais. Des feuilles s’y développent, puis bientôt la tige dépasse le niveau de l’eau. Au mois d’août, la tige porte des fleurs. Les grains de riz qui demeurent au fond du marais font le régal du malard.
La municipalité de Plaisance a aménagé à l’automne 1996 des aires d’observation ainsi qu’un petit sentier le long des chutes de Plaisance, situées à quelques kilomètres au nord du village. Mais avant d’aller admirer les chutes, la petite visite du Centre d’interprétation du patrimoine de Plaisance (276 rue Desjardins, 819-427-6400) permet d’en connaître davantage sur le riche passé historique de l’endroit. Des vestiges ont été découverts sur le site de l’ancien village de North Nation Mills (1809-1928), qui était situé près des chutes.
Chutes de Plaisance : droit d’accès; 819-427-6355 ou 819-427-6400, www.ville.plaisance.qc.ca
Accès
Les chutes sont situées à 5 km au nord du village. De Plaisance (route 148), empruntez la montée Papineau, puis la rue Malo à gauche (indications affichées, stationnement au 100 rue Malo).
Services et installations
Stationnement, aires de pique-nique, dépliants.
Le réseau
Le réseau compte un sentier d’environ 2 km. Le sentier descend d’abord près des chutes où un belvédère a été aménagé. Les chutes font 63 m de haut et un peu plus en largeur. Elles sont divisées en deux par une petite île, site du premier moulin à scie de la région. Le village de North Nation Mills, qui s’étendait des deux côtés de la rivière Petite-Nation, compta jusqu’à 300 habitants. Le sentier de randonnée longe, presque constamment, la rivière Petite-Nation et mène à une mini-plage où l’on peut faire une halte rafraîchissante par les chaudes journées d’été. On ne se lasse pas d’admirer la puissance de ces chutes fort impressionnantes.
Autres randonnées, balades
et découvertes
Arbraska Laflèche
droit d’accès; 255 route Principale (route 307 N.), Val-des-Monts, 819-457-4033 ou 877-457-4033, www.arbraska.com/fr/lafleche
On se rend d’abord chez Arbraska Laflèche pour la visite de la plus grande caverne du Bouclier canadien accessible à tous, mais également pour les parcours d’aventure en forêt (à la cime des arbres), les tyroliennes et les sentiers pédestres.
Centre d’aventure et de plein air des Montagnes Noires
route 317, Ripon, 819-983-2000, poste 40, www.ville.ripon.qc.ca
La ville de Ripon, qui gère le Centre d’aventure et de plein air des Montagnes Noires, a aménagé à l’automne 2004 un très beau et vaste belvédère au sommet de la montagne, qui du haut de ses 428 m offre une vue sur toute la région. Des quatre sentiers pédestres (total de 17 km), trois mènent au sommet.
Réserve écologique
de la Forêt-la-Blanche
droit d’accès; 300 ch. Saddler
(route 315), Mayo, 819-281-6700, www.foretlablanche.org
Ouverte toute l’année, cette réserve écologique en étonnera plus d’un grâce notamment à un beau réseau de sentiers pédestres (six sentiers pour un total de 9 km), un agréable pavillon d’accueil et d’interprétation (expositions thématiques) ainsi qu’une forêt mature de plus de 300 ans considérée comme l’une des dernières et plus anciennes de l’est du pays.
Centre d’interprétation du cerf de Virginie
dons appréciés; 6 ch. du Barrage, Sainte-Thérèse-de-la-Gatineau, 819-449-6666, www.sainte-therese-de-la-gatineau.ca
Afin d’en apprendre davantage sur le cerf de Virginie, communément appelé « chevreuil », rendez-vous à ce centre qui dispose d’un pavillon d’interprétation de bois rond, de sentiers pédestres qui permettent d’observer les cerfs, ainsi que d’un refuge situé près du lac des Trente et Un Milles. Réseau pédestre d’une quinzaine de kilomètres.
Chutes Coulonge
droit d’accès; 100 promenade du Parc-des-Chutes, Mansfield, 819-683-2770, www.chutescoulonge.qc.ca
Les magnifiques chutes Coulonge (48 m de haut) et leur canyon de quelque 750 m de long ont de quoi impressionner. Sur place, on relate avec plusieurs objets l’histoire de l’industrie du bois de cette région que l’on nomme Pontiac. Les sentiers mènent à de nombreux belvédères et passerelles qui donnent sur les chutes, la rivière et le glissoir de billots. Le site propose également des activités récréatives comme des parcours en tyrolienne au-dessus du canyon et une via ferrata le long des falaises.
Parc Oméga
droit d’accès; 9 route 323 N., Montebello, 819-423-5487, www.parcomega.ca
Ce parc est un immense enclos de 600 ha sillonné d’un chemin balisé de 12 km pour les voitures qui permet d’observer près de 350 animaux (wapiti, cerf élaphe, cerf de Virginie, orignal, bison d’Amérique, ours noir, sanglier, mouflon et bouquetin, entre autres). Le parc comporte deux zones spécifiques à la randonnée pédestre (Lac des truites et Les chevreuils) et des aires de pique-nique.
Château Montebello 
392 rue Notre-Dame, Montebello, 819-423-6341, www.fairmont.fr
Cet hôtel est le plus grand édifice en rondins au monde. Il est permis de s’y arrêter pour visiter ou pour prendre une consommation. Des sentiers de randonnée, comme le sentier 1 000 pas (5,7 km) ou le sentier des Amoureux (20 km), serpentent à travers le site.
Réserve faunique
de La Vérendrye
819-438-2017, www.sepaq.com/rf/lvy
La réserve compte quatre sentiers, dont les Chutes-du-Lac-Roland (2 km) et la Forêt-Mystérieuse (départ au camping du Lac-de-la-Vieille, 1 km).
Centre touristique du Lac-Simon
Duhamel, 819-428-7931 ou
800-665-6527, www.sepaq.com/ct/sim
Royaume des cerfs de Virginie, le centre touristique du Lac-Simon propose une dizaine de kilomètres de sentiers pédestres le long desquels il est possible de les observer et même de les approcher! Une longue plage de sable permet de se rafraîchir en été.
Sentier du Rocher-à-l’Oiseau
1 ch. Schyan, Sheenboro, 819-648-5689, poste 124 ou 800-665-5217
Ce rocher, haut de 150 m, revêt un caractère sacré pour les communautés autochtones de la région. Un sentier d’interprétation menant à son sommet (4 km en forêt puis 1 km d’ascension) permet d’ailleurs de comprendre les figures d’art rupestre que l’on peut encore voir aujourd’hui sur le rocher.