À toi, Blanche, qui n’as jamais cessé de lire avec passion toute ta vie, même vers la fin, quand tes yeux avaient commencé de t’abandonner. Tu ne liras jamais ce roman, parce que le temps ne t’en a pas été laissé, mais je sais que tu l’aurais aimé. Et que tu aurais été fière de ta fille.