Chapitre 7

Relativisons !

 

Dans ce chapitre :

  • triangle.jpg Qui est « qui » ?
  • triangle.jpg Les caprices du « dont »

 

Les pronoms relatifs nous permettent de relier deux propositions qui ont un nom en commun et d’éviter ainsi la répétition de celui-ci. Ils se classent en deux catégories, les formes simples et usuelles (qui, que, quoi, dont, où…) et les formes contractées (desquelles, duquel, auxquelles, à laquelle…). Seules ces dernières s’accordent en genre et en nombre, mais on ne peut les utiliser indifféremment dans n’importe quel cas. Explorons un peu ce nouveau champ.

Qui est « qui » ?

  • coche.jpg Avec « qui », aucune restriction, « qui » peut s’appliquer à une personne, un animal, une chose.
    Le présentateur qui taquine toujours ses invités anime une nouvelle émission.
    Le renard qui manifeste tant de ruse dans les fables de La Fontaine sort toujours vainqueur.
    L’eau qui coule de la fontaine est réputée potable !
    On se demande souvent quelles sont les règles qui régissent l’emploi de « ce qu’il » plutôt que « ce qui ».
    Eh bien, il n’y en a pas ! On peut faire comme on veut ! Aucune distinction de sens, de grammaire, et même à l’oreille il est difficile de repérer lequel des deux a été prononcé.
    Je ne comprends pas ce qu’il se passe. Ou Je ne comprends pas ce qui se passe.
    À moins que la construction soit exclusivement impersonnelle comme avec le verbe falloir, le « qu’il » s’imposera alors.
    Qu’est-ce qu’il faut comme bûches pour se chauffer.
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Si « qui » est précédé d’une préposition, le sujet auquel il se rapporte qu’on appelle un « antécédent » doit être une personne ou une chose personnifiée. Parmi les prépositions les plus courantes : à, avec, chez, dans, de, derrière, devant, en, par, parmi, pour, près, sans, sous, sur…

Le libraire chez qui je fais mes courses spirituelles…

L’arbre, symbole de vie, devant qui je m’incline révérencieusement…

On ne peut donc pas dire : la fleur à qui je parle (à moins d’être dans Peau d’Âne…).

Les animaux familiers faisant partie de la famille bénéficient d’un traitement de faveur, ils peuvent faire fonction d’antécédent. Reste à savoir où s’arrête le noyau familial. Des singes ou des souris… La règle ne dit mot !

  • coche.jpg Les pronoms composés s’adressent indifféremment aux personnes ou aux choses, c’est donc vers eux que l’on se tournera si notre verbe exige une préposition.
    Les voyages pour lesquels j’ai dû patienter jusqu’à ma majorité sont mes meilleurs souvenirs.
    Les amis sur lesquels je peux compter…
    On aurait pu écrire : Les amis sur qui je peux compter… Mais non* Les voyages pour qui.

i0051.jpgLa forme simple (sur qui) est considérée comme plus soutenue que la forme composée (sur lesquels).

  • coche.jpg Quand deux propositions comportent deux pronoms identiques, on peut faire l’ellipse du second. Si le temps des verbes n’est pas le même dans les deux propositions, certains grammairiens imposent la répétition du pronom. Cette pratique, un peu rigoureuse, est peu suivie dans l’usage.
    La comédienne qui chante le blues et danse admirablement le rock and roll.
    Les manifestants qui défilaient dans les rues et (qui) s’étaient donné rendez-vous de bonne heure commençaient à se disperser.
    Si le second pronom est différent, nous ne pouvons pas en faire l’omission.
    Les médecins qui étaient en consultation et dont nous connaissions la renommée s’étaient constitué une belle clientèle.
  • coche.jpg Après « qui », le verbe s’accorde généralement avec l’antécédent. Certaines phrases (avec je, tu, nous ou vous pour sujet) présentent toutefois des équivoques. L’accord est indiscutable quand l’antécédent est un attribut (qui qualifie un sujet ou un complément par l’intermédiaire d’un verbe) déterminé par un article défini (le/la) ou un adjectif démonstratif (ce/cette) ou si l’attribut est un pronom démonstratif (ceux/celle/celui) :
    Tu es l’élève qui a les meilleures notes. (Accord avec l’élève qui est attribut.)
    Vous êtes cet homme qui peut prendre le pouvoir. (Idem avec cet homme.)
    Nous incarnons ceux qui se sont toujours battus. (Idem avec ceux.)
    Et également quand la proposition principale est interrogative ou négative sans aucune restriction sur le déterminant :
    Êtes-vous une personne qui se froisse facilement ? (Accord avec une personne.)
    Je ne serai jamais cette esclave qui admet sa soumission. (Accord avec cette esclave.)
    Si l’attribut est précédé d’un article indéfini, l’usage est hésitant, mais tend toutefois vers l’accord avec l’attribut.
    Je suis une professionnelle qui a fait ses preuves.

Les caprices du « dont »

  • coche.jpg « Dont » peut représenter des personnes comme des choses. Le plus souvent, il peut être remplacé par duquel, de laquelle, de qui, de quoi, desquels… Il équivaut au « de » suivi de l’antécédent.
    François Truffaut dont j’ai vu tous les films… (On pourrait tout autant dire de qui j’ai vu puisque l’antécédent est une personne)
    Nous avons l’habitude de placer « dont » dans la plupart de nos phrases, mais nous ignorons souvent que certaines restrictions s’appliquent à ce mot magique, que nous employons des fois à tort et à travers.
    Il est des constructions un peu alambiquées qui peuvent nous mettre dans un certain embarras.
    La voiture à la réparation de laquelle il voue ses week-ends est une antiquité.
    Soit vous changez la phrase : Il voue ses week-ends à la réparation de sa voiture, qui est une antiquité. Soit vous vous inclinez devant la lourdeur de la première phrase, cette dernière reste cependant correcte.
    L’antécédent du pronom de laquelle est voiture, le pronom en est donc séparé par le mot réparation.

    1) Avec ce schéma (antécédent + préposition et nom + pronom relatif), l’emploi de « dont » est proscrit. On le remplace par de laquelle, duquel ou de qui (si l’antécédent est une personne pour ce dernier).


    Le tableau à la restauration duquel il travaille était exposé au Louvre.

i0052.jpgComment avoir la certitude que cette phrase est juste, que le pronom relatif est le bon ? Il suffit de la remettre dans le bon ordre :

Il travaille à la restauration du tableau et ce tableau était exposé au Louvre. Le à la était bel et bien dans notre phrase initiale, la préposition sur laquelle se construit le pronom (pour éviter la répétition de tableau) est « du ». On sait qu’une restriction nous interdit l’emploi de « dont », il faut donc choisir « du », et opter pour la forme composée (puisque l’antécédent est une chose, on ne saurait dire « de qui »), avec un antécédent masculin singulier (tableau), ce sera forcément duquel.

2) « Dont » ne peut pas dépendre d’un complément introduit par une préposition.

*Le propriétaire dont j’ai roulé sur les fleurs n’était pas content. Phrase fautive

Cela signifie : J’ai roulé sur les fleurs du propriétaire.

La préposition « sur » dépend de l’antécédent « propriétaire », on ne peut donc pas user du « dont » dans la phrase. Il faudra donc dire :

Le propriétaire sur les fleurs duquel (ou de qui) j’ai roulé n’était pas content.

i0053.jpgIl faut toujours partir du complément pour construire sa phrase : sur les fleurs.

De même, il serait fautif d’écrire :

*L’Administration dont j’ai accédé aux plus hautes fonctions…

On corrigera par :

L’Administration aux plus hautes fonctions desquelles j’ai accédé…

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Impossible de remplacer desquelles par de qui dans notre précédent exemple. Ce pronom relatif précédé d’une préposition ne peut se rapporter qu’à une personne. Ce que n’est pas l’Administration.

3) Autre restriction : si un possessif est en rapport avec l’antécédent, « dont » ne peut être envisagé dans la phrase !

*Le fils dont je reçois ses amis est de passage dans la région. Phrase fautive

Le possessif « ses » est bien en rapport avec l’antécédent « fils ».

La solution, ici, est simple, on change le possessif !

Le fils dont je reçois les amis est de passage dans la région.

Rezardez le château dont on aperçoit le donjon.

Et non : *Regardez le château dont on aperçoit son donjon.

4) Enfin, on ne peut concevoir de mariage possible entre « dont » et le pronom « en ».

*Les femmes dont j’en admire l’élégance. Association inimaginable.

Mais il est juste de dire : Les femmes dont j’admire l’élégance.

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Dont est obligatoire si l’antécédent est ce, cela, ceci, rien. Il peut avoir pour vocation de ramasser toute la proposition précédente.

C’est ce dont j’ai le plus besoin.

Il fumait cigarette sur cigarette, ce dont je n’avais pas pris conscience auparavant. « Ce » se rapporte dans ce dernier exemple à toute la proposition.

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Un pronom peut en cacher un autre

« Dont » et «  »

« Dont » s’emploie pour exprimer la descendance et l’origine sociale.

Les Valois dont il descendait …

« D’où » est plutôt réservé au lieu et au temps.

Je me suis précipitée dans la cuisine d’où émanait une étrange odeur.

C’est l’heure où la nuit tombe.

Le village d’où je viens organise des festivals de rue comme on n’en voit plus.

«  » peut s’accompagner ou non d’une préposition (où, d’où), comme on le remarque dans les exemples précédents. Il ne peut avoir pour antécédent qu’un nom de chose.

i0057.jpgNous nous abstiendrons de mettre un (il est question d’adverbe et non de musique, l’accent le prouve) entre la préposition « de » et le pronom relatif «  ».

La station d’où nous sommes sortis est une phrase correcte, mais il est impossible de s’exprimer convenablement avec *La station de là où nous sommes sortis.

Cela vaut pour d’autres prépositions : ne pas employer jusque là où mais jusqu’où.

Ne pas tomber dans le piège du C’est là où, qui relève du langage populaire. Pencher plutôt pour C’est là que.

«  » manifeste son exigence : il s’associe avec peu de prépositions : de, par, jusque, quelquefois pour.

Jusqu’où irez-vous dans la provocation ?

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La combinaison « vers où » semble bien malheureuse, on s’épargnera de l’utiliser.

Il faut éviter d’employer «  » quand il se rapporte à la situation.

Ne pas dire *L’état de fatigue où je suis mais L’état de fatigue dans lequel je suis.

  • coche.jpg « Que »
    « Que » est le pronom relatif que l’on emploie quand l’antécédent est complément d’objet direct, c’est-à-dire quand le pronom relatif n’est pas construit sur une préposition.
    Roxane lave les fraises pour le déjeuner. Les fraises sont le COD de laver.
    Les fraises que Roxane lave pour le déjeuner.
    Si le verbe exige une préposition (penser à quelqu’un), le pronom ne sera pas « que » et il se construira sur la préposition indissociable du verbe.
    Les desserts auxquels elle pense…
  • coche.jpg « Dont » et « que »
    Deux verbes similaires par le sens se conjuguent avec des prépositions différentes : « rappeler » est un verbe transitif direct, c’est-à-dire qu’il a un complément d’objet direct, comme manger.
    Je mange une pomme. Le COD est une pomme. Si la pomme devient sujet, il faudra dire La pomme que je mange est d’un rouge éclatant.
    On reproduit le schéma grammatical avec se rappeler :
    L’histoire que je me rappelle puisque Je me rappelle l’histoire et surtout pas Je me rappelle de l’histoire. Cette fréquente erreur vient de l’analogie avec « se souvenir ». Ce dernier, en revanche, se construit obligatoirement avec « de ».
    L’épisode dont je me souviens est celui du singe qui séchappe du zoo.
    Parce que je me souviens de l’épisode ! Dans le même esprit, on ne dira pas :
    *Je m’en rappelle. « En » signifiant « de cela », cela reviendrait à dire : Je me rappelle de cela.
    Il faudra corriger pour : Je me le rappelle ou je m’en souviens.

i0059.jpgAttention toutefois à certaines phrases où « se souvenir » constitue le verbe de notre proposition relative mais où la préposition « de » figure déjà dans la phrase. Dans ce cas, c’est le « que » qui sera préféré, pour éviter une grave faute de syntaxe.

C’est de son sourire charmeur qu’elle se souvient.

Si l’on remet la phrase dans l’ordre, on obtient :

Elle se souvient de son sourire charmeur.

Avec la phrase fautive : *C’est de son sourire charmeur dont elle se souvient. La remise en ordre supposerait *Elle se souvient de de son sourire, puisque le « dont » est la contraction de « de ».

Sur le même principe, on peut dire :

La solitude dont il est jaloux… (puisqu’il est jaloux de la solitude).

(Pour les règles de l’élision avec « puisque », voir chapitre 10.)

Mais on dira :

C’est de la solitude qu’il est jaloux… (le « de » est déjà dans la construction de la phrase, on sollicitera donc le « que » pour éviter la répétition du « de »).]

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  • coche.jpg «  » et « que »
    Si l’on joue la carte de l’élégance, on préférera l’emploi de « que » à «  » dans des phrases semblables à cet exemple :
    Un jour que je ne travaillais pas…
    C’est-à-dire quand le nom est une indication de temps et qu’il est précédé d’un article indéfini (un, une, des).
    Avec un article défini, on emploiera plutôt «  » :
    Le jour où je ne travaillais pas…
    La version avec « que » et article défini nous bascule dans la langue littéraire !
    Le jour que je ne travaillais pas.
  • coche.jpg L’expression c’est à toi exige l’emploi de « que » pour éviter la répétition inévitable du « à » (c’est à lui à qui je m’adresse/ou auquel je m’adresse) qui est fautive. Il faudra donc dire :
    C’est à toi que je m’adresse.
    Gardons à l’esprit que « dont » est la contraction de « de ». Même procédé avec pc’est de lui. Pour ne pas alourdir avec une redite (c’est de lui dont je parle), on préférera :
    C’est de lui que je parle.
    Seul « que » est autorisé.
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Avec les prépositions « parmi » et « entre », nous sommes contraints de recourir à la forme composée lesquelles, lesquels. Impossible de placer un « qui » ici !

Cette association m’a permis de faire de nouvelles connaissances parmi lesquelles j’ai choisi mon témoin de mariage.

  • coche.jpg « Lequel »
    « Lequel » concurrence « qui », les deux pouvant s’employer indistinctement. Mais, dans certains cas, « lequel » permet d’éviter une ambiguïté.
    Il faut repeindre la façade qui jouxte le bâtiment, lequel date un peu.
    Avec « qui », nous n’aurions aucun moyen de savoir qui, de la façade ou du bâtiment, date un peu. Évidemment, avec deux noms féminins (ou masculins), le problème demeure.
    Il faut repeindre la façade qui jouxte la maison, laquelle date un peu.
    Il présente également l’avantage de nous épargner la répétition du « qui » !
  • coche.jpg « Quoi »
    Ne peut se rapporter qu’à un nom de chose.
    Les enfants ont préparé le petit déjeuner, ce à quoi je ne m’attendais pas.
    Notre « quoi » se rapporte ici à toute la proposition Les enfants ont préparé le petit déjeuner. Il est d’usage de le faire précéder du démonstratif « ce ». « Quoi » ne s’emploie plus aujourd’hui que pour un sujet neutre.
    Quelque chose à quoi je ne crois plus.
    Mais contre quoi je me suis cogné ?
    Mais on peut rencontrer au cours de nos lectures des phrases dans lesquelles « quoi » se réfère à un sujet nettement déterminé, puisque c’était l’usage jusqu’au XVIIIe siècle.

 

L’essentiel pour un Nul pressé

  • coche.jpg Qui → a pour antécédent une personne, un animal, une chose…
    Les enfants observent le singe qui grimpe à l’arbre.
    Mais préposition + qui → antécédent : une personne ou une chose personnifiée
    Les touristes à qui la guide commente l’histoire de la ville.
  • coche.jpg Lequel, laquelle, lesquelles → personne, animal, chose (aucune restriction)
    Préposition + lequel (féminin, pluriel… ) → antécédent : personne, animal, chose…
    Donc préposition + pronom avec un antécédent animal ou chose → choix de la forme composée
    Les dauphins avec lesquels les animateurs font leur show.
    Pas de distinction entre ce qu’il et ce qui sauf avec le verbe falloir (emploi de « ce qu’il » obligatoire).
    J’ignore ce qu’il te convient le mieux/J’ignore ce qui te convient le mieux.
    Sais-tu ce qu’il faut apprendre pour demain ?
    La répétition du pronom n’est indispensable que si l’on change de pronom.
    Les artistes qui sculptent le sable et dont l’art relève d’un minutieux apprentissage…
    Les artistes qui sculptent le sable et invitent les enfants à les rejoindre dans leur création.
  • coche.jpg Pronom personnel (je, tu, nous, vous) + verbe + attribut → accord avec l’attribut dans 4 cas :
    • • L’attribut est précédé d’un article défini
      Nous sommes les historiens qui ont révolutionné la vision du XXe siècle !
    • • L’attribut est précédé d’un adjectif démonstratif
      Tu es cette spécialiste de la biodiversité qui a écrit de précieux ouvrages.
    • • L’attribut est un pronom démonstratif
      Je veux être celle qui remportera la victoire !
    • • Si la phrase est interrogative ou négative
      Vous n’êtes pas un homme qui fuit ses responsabilités.
      Serez-vous le candidat qui gagnera le premier prix ?
  • coche.jpg  (employé avec ou sans préposition) → antécédent : chose
    Les vacances où je me suis le plus amusée sont celles que j’ai passées dans la maison de ma grand-mère à La Rochelle.
  • coche.jpg Dont → antécédent : personne, animal, chose
    Les affaires dont je m’occupe sont à la limite de la légalité.
    Les cas où dont est interdit
    - antécédent + préposition et nom + pronom relatif
    On le remplace par de laquelle, duquel ou de qui.
    Le port au manège duquel travaille le forain organise une épreuve sportive.
    Et non *Le port dont le forain travaille au manège…
    - Si la relative comporte une préposition
    Ce magistrat de l’honnêteté duquel je doute bénéficie toujours de l’immunité.
    Et non *Ce magistrat dont je doute de l’honnêteté…
    - Avec un possessif se rapportant à l’antécédent
    Ces mannequins dont je photographie les tenues ont une ligne parfaite.
    Et non *Ces mannequins dont je photographie leurs tenues…
    - Avec en dans la phrase
    Ces bijoux dont j’admire l’éclat sont trop coûteux.
    Et non *Ces bijoux dont j’en admire l’éclat
  • coche.jpg Que
    Pronom relatif utilisé quand le verbe n’exige aucune préposition
    La maison que j’ai achetée aurait besoin d’être rénovée.
    C’est à lui que je parle.
    C’est de lui que je parle.
    Ces deux constructions exigent le que.
  • coche.jpg Lequel
    S’emploie à la place de qui
    - Évite une répétition du pronom
    - A l’avantage de ne pas présenter d’ambiguïté
    Incline-toi devant cette déesse qui est honorée dans tout le monde grec, laquelle s’est montrée généreuse envers son peuple.
  • coche.jpg Quoi → antécédent : sujet neutre
    À quoi me suis-je heurtée ?