Je tiens à adresser mes plus chaleureux remerciements à mes fidèles lecteurs qui me soutiennent et m’encouragent depuis la parution du livre De sinistre mémoire, et en particulier à tous ceux qui ont réclamé ce premier roman, écrit en 2008, dont le titre original était La Mante sauvage.
Lorsque ce livre est né, je n’aurais jamais osé imaginer qu’il recevrait un jour un coup de cœur de l’un des auteurs les plus emblématiques du polar français, considéré aujourd’hui comme un maître du genre : Franck Thilliez. Je ne le remercierai jamais assez d’avoir consacré tout ce temps à Colère noire, et de l’aura qu’il lui a donnée en acceptant de commenter sa lecture par ses conseils et cette marque forte d’amitié.
Je ne pourrais pas travailler sans la compréhension de ma femme Nathalie, ni sans sa patience face aux longues heures que je passe devant l’écran de mon ordinateur. Je lui suis très reconnaissant de me laisser continuer à vivre cette aventure malgré le temps que cela grignote sur la vie de famille.
Sans les conseils avisés de mon amie de toujours Christine Valette-Rigault, je me serais enlisé à jamais dans les sables mouvants du Code pénal français, et ce roman n’aurait pas pu voir le jour. Je lui dois une fière chandelle et quelques poignées de cheveux arrachées pour toute la partie judiciaire de l’intrigue, notamment en ce qui concerne la notion de prescription en termes d’affaires criminelles.
Ce polar a deux autres marraines qui ont penché leurs fronts attentifs d’auteures sur son berceau. Toute ma gratitude à Claire Favan et Angela Gazzara pour leur soigneuse relecture du manuscrit et leurs avis judicieux sur certaines scènes (Claire, je n’ai pas oublié ta cocotte-minute !). C’est un privilège rare d’être relu avec amitié par des compères d’écriture au talent aussi affirmé.
J’envoie un coup de patte affectueux à mon complice Christian Tauziède, à qui je dois de nombreux éclaircissements sur le fonctionnement de la police nationale, et un clin d’œil amical à Jean Lacroix, professeur d’histoire en retraite du lycée de Sens, pour ses intarissables anecdotes historiques locales.
Un énorme coup de chapeau à mon copain Philippe Demaille, qui réalise les indispensables maquettes de mes manuscrits qui me permettent de recueillir les avis de mes proches sur mes projets en cours.
Merci également à mon éditeur Jean-Laurent Poitevin et à Isabelle Humbert pour l’excellent travail accompli depuis deux ans avec les éditions Les Nouveaux Auteurs, ainsi qu’à ma correctrice Isabelle Luguet pour son travail plein de finesse, sans oublier le jury de lecture qui a permis l’édition de ce roman.
Merci aux blogs qui me soutiennent depuis le premier jour, avec une pensée particulière pour Laure, Séverine, Malorie et Marine. Vos retours sont une récompense de plus.
Merci enfin à tous mes compagnons archers dont j’ai croisé le chemin, sur les parcours de championnats ou dans les bois, en bientôt trente ans de pratique de notre passion commune qui a servi de ferment à cette intrigue. Mon ami Christian Delval était l’un des premiers d’entre eux. Il nous a quittés en 2007 pour s’en aller chasser seul dans les grandes plaines de l’inconnu.
Ce polar d’archers lui est dédié.
Bonnes flèches à tous.