Les citations sont faites, pour chaque langue, dans l’orthographe ou la transcription usuelle.
En vieil-islandais, comme en irlandais, les voyelles longues portent un accent aigu (dans les autres langues où elles sont marquées, un trait) : Þ et đ sont des spirantes dentales, sourde et sonore (« th » anglais) ; ø et œ sont des variantes de ö ; y est voisin d’allemand « ü » ; j est i consonne.
En vieil-irlandais, h spirantise l’occlusive précédente ; sh est à peu près « ch ».
En russe et en ossète, c š ž č ǰ valent français « ts ch j tch dj » ; x et ǧ valent l’ach-haut-allemand et la sonore correspondante ; j est i consonne ; y est une voyelle sourde (turc « i sans point »). En ossète æ est un a très ouvert, q une pharyngale sourde.
En sanscrit, r̥ est « r » voyelle ; ṃ nasalise la voyelle précédente ; c j valent français « tch dj » ; ś ṣ sont deux variétés de chuintantes sourdes (cf. français « ch ») ; ṭ ḍ ṇ sont rétroflexes (« t d n » prononcés la pointe de la langue retournée vers le palais) ; ḥ est un souffle sourd substitué à s en certaines positions ; y est « i » consonne ; et ṅ et ñ sont les formes prises par n devant k et g et devant c et j.
En gallois, ll est une latérale (le souffle passe par un côté de la bouche) ; th et dd sont le « th » sourd et sonore de l’anglais ; w, voyelle, vaut allemand « u » et, consonne, anglais « w » ; u est une variété de « í » ; y est « i » vélaire ; ch est l’ach-Laut de l’allemand.
Dans d’autres langues, ś ź sont des chuintantes, variantes de š ž ; ǝ est la voyelle chva ; hors du grec, θ δ valent « th » sourd et sonore de l’anglais.