Ces habits | |
honnêtes | |
Je viens revoir Sylvie | servent à |
Elle est entretenue par Hc | un déguisem |
Les fêtes se prolongent Je vais | |
chercher l’actrice — | |
Elle est reçue par le prév. | |
et la maîtresse du | |
pr | |
Je retrouve les blasons | |
pr me présenter | |
Je fais rebâtir un pavillon | |
j’étourdis le village | |
J’excite l’admir. et le | |
dépit de Sylvain | |
Maison fatale | |
m’échoit | |
Je revois Sylvie près du bal | |
elle est en deuil | |
moi xxxxxxxx | |
nous nous embrassons | |
La maison est détruite | |
mes xxxxxxx xx xxx |
Pays. per1. | |
oncle tableaux | |
= | |
Je reviens | tems des allées |
Je suis un Mr | oncle |
Lettres de notaire | |
oncles de Paris | |
— | |
Dem2. au couvent | |
Je reviens Je ren- | Rappeler le R |
contre une gantj3. | tragique |
études | |
Je revois la même | |
Ce sont 2 sœurs | |
veux baiser | |
Le vieux com | J’ai l’act4. |
serai-je pour l’épouser | M. Sp. le g. jour5 |
pend. ce t. Sylvie | |
mxxx — | |
Je vais refaire un | |
le donjon | |
l’oncle maire | réparation |
m’écrit | paysans |
chansons du pays | |
Sylvain | |
je cache | |
jour où je revois | |
la belle | |
Sylvie me xxxx xxxx |
L’air était doux et parfumé je résolus de
ne pas aller plus loin et d’attendre le matin
Ô nuit ! — J’en ai peu connu de plus belles :
je ne sais pourquoi, dans les rêveries vagues
qui m’étaient venues par momens, deux
figures aimées se combattaient dans mon
esprit ; — l’une semblait descendre des étoiles
et l’autre monter de la terre. La dernière disait :
Je suis simple et fraîche comme les fleurs des
champs ; l’autre je suis noble et pure comme
beautés immortelles conçues dans le sein de
ce qui m’avait porté à la tête
d’enivrement : — peut-être
où je m’étais reposé
me laisser prendre
l’âme dit s’y