Je dédie ce livre à celles et ceux qui subissent, dans l’ombre et le silence, l’arbitraire des pouvoirs ; à celles et ceux qui souffrent du comportement de chefs, petits ou grands, de tyrans régressifs et répressifs, missionnés pour surveiller, contrôler, évaluer, punir, humilier, opprimer ou détruire.
Je remercie en tout premier lieu toutes celles et tous ceux avec qui j’ai pu débattre scientifiquement sur des questions littéraires au cours des trois dernières années. Et tout d’abord les participants au séminaire de recherche « Propriétés des créateurs et propriétés de leurs créations : sociologies implicites des œuvres et socialisations des écrivains » (ENS-LSH, 2006-2010) : ses membres permanents (Julien Bertrand, Géraldine Bois, Samuel Coavoux, Muriel Darmon, Sophie Denave, Christine Détrez, Fabienne Federini, Laure Flandrin, Frédérique Giraud, Gaële Henri-Panabière, Delphine Moraldo, Aurélien Raynaud, Émilie Saunier, Olivier Vanhée), comme ses invités extérieurs (Patrick Boucheron, Université Paris I et Institut universitaire de France ; Jacques Dubois, Université de Liège ; Patrice Durand, Université de Liège ; Jérôme Meizoz, Université de Lausanne ; Alain Viala, Sorbonne Nouvelle et Oxford University). Séminaire et ouvrage ont, par ailleurs, bénéficié de l’aide financière octroyée par la Région Rhône-Alpes dans le cadre du cluster « Culture, Patrimoine, Création ».
Mes remerciements s’adressent aussi…
… à l’ensemble des étudiants ayant suivi le séminaire « Sociologie et littérature » à l’ENS-LSH au cours des années universitaires 2006-2007 et 2007-2008 ;
… à Nicole DiGioacchino (Duke University) pour ses conseils bibliographiques concernant les travaux nord-américains sur la littérature (et tout particulièrement ceux relevant du New Historicism) ainsi qu’au professeur Jack Street et aux étudiants du Beloit College (Wisconsin) qui m’ont donné l’occasion de présenter certains aspects de mon programme de recherche en novembre 2007 ;
… à mes collègues de l’IUPERJ/Universidade Candido Mendes de Rio de Janeiro (Frédéric Vandenberghe et Jose Mauricio Domingues) et de l’Université Juiz de Fora (Jesse Souza) pour m’avoir permis, en m’invitant en août-septembre 2008, de formuler mon approche des faits littéraires, mais aussi et surtout d’avancer significativement ce travail de recherche, et tout particulièrement l’interprétation des textes, dans des conditions idéales (amicales et professionnelles) de sérénité ;
… à Ruzena Vánová, de l’Université Charles à Prague, pour son aide concernant la compréhension du système scolaire (école communale, lycée allemand et faculté de droit) par lequel est passé Franz Kafka, ainsi qu’à Stanislav Stech (Université Charles, Prague), pour son aide linguistique ;
… à Hugues Jallon pour sa relecture critique qui m’aura permis de parachever ce texte, ainsi qu’à Yane Golay pour sa relecture patiente et soignée.