Quand m’est venue l’idée de ce roman, en 2012, j’ai su que j’allais avoir du mal à le placer. Pardon ? Tu veux écrire un space opera dont tous les personnages sont féminins ? Genre, de la science-fiction sans un seul homme dedans ? Sans que les hommes y soient même mentionnés ? TU TE CROIS EN 1968 ?!
Bravo à Joe Monti, de Saga Press, non seulement d’avoir accepté cette proposition de livre, mais aussi d’avoir été encore plus excité de l’acheter en se rendant compte de ce que la construction du monde laissait dans l’implicite. Merci à toute l’équipe de Saga Press pour son aide jusqu’à la publication. Merci aussi à un de mes correcteurs préférés, Richard Shealy, qui n’hésite pas à me demander des éclaircissements sur mes mondes bizarres. Remerciements spéciaux à Stephen Youll pour cette fabuleuse couverture et à Joe pour m’avoir écoutée quand j’ai dit : « Bon sang, Joe, il faut absolument UN VAISSEAU SPATIAL SUR LA COUVERTURE1 ! »
Comme toujours, je remercie mon agente, Hanna Bowman, qui m’aide à rester saine d’esprit et concentrée sur le travail.
Merci également à Jayson Utz de demeurer l’étoile qui brille de mille feux dans mon univers loufoque.
Merci aux amis loyaux et aux fans qui continuent d’acheter tous ces livres. Comme m’a dit un confrère en voyant la couverture des Étoiles sont Légion : « Ton nom est écrit de plus en plus gros ! C’est bon signe ! » Espérons.
Ma carrière littéraire persiste à ressembler énormément à un combat contre une armée de rats mutants, combat que je livre avec une torche électrique dans une main et une épée dans l’autre tout en avançant dans un labyrinthe conçu pour me décourager de poursuivre mon chemin. Mais jusqu’à présent, à mon grand plaisir, j’ai réussi à raconter exactement les histoires que je voulais raconter et exactement de la manière dont je voulais les raconter. En fin de journée – quel que soit le nombre de journées dont je dispose –, un créateur ne peut rien demander de mieux.
Merci de m’avoir accompagnée dans ce voyage.
The Big Red House, automne 2016