Cet ouvrage respecte scrupuleusement le texte manuscrit de Paul Ricœur. Celui-ci a été saisi par Catherine Goldenstein, qui précise dans sa postface les circonstances et le moment où ces pages ont été écrites.
N’ayant cependant jamais eu l’intention de publier un fac-similé, nous n’avons pas gardé, sauf pour la page d’ouverture, avec le plan de la première partie du livre, et pour la page finale qui clôt la seconde partie et le livre, la disposition du texte ligne après ligne, car elle est purement contingente. Nous avons en revanche conservé les ruptures de paragraphe. Nous avons rétabli ou établi la ponctuation quand elle était défaillante ou inexistante, corrigé des coquilles et respecté quelques conventions typographiques courantes de l’édition (ainsi, tous les termes soulignés par Paul Ricœur sont en italique).
Nous donnons dans le corps du texte, entre crochets et en caractères gras ([…]), des indications sur le manuscrit : paragraphes biffés, ajouts dans la marge, mots dont le déchiffrement s’est révélé conjectural ou impossible, mots manquants. Nous n’avons pas signalé ni reproduit les ratures ponctuelles. Nous renvoyons en note des précisions diverses des éditeurs (par exemple, des auteurs et des titres auxquels Ricœur fait allusion, ainsi que la référence de ces ouvrages). Quelques notes sont de Ricœur lui-même ; elles sont signalées comme telles.
CATHERINE GOLDENSTEIN
ET JEAN-LOUIS SCHLEGEL