Je ne peux pas ne pas mentionner les personnes qui ont contribué, de près ou de loin, à l’existence de cette histoire. Je tiens à les remercier ici, de tout mon cœur.
Mon compagnon, Rémy, et Benjamin, notre fils, pour leur indéfectible soutien.
Mon père, pour ses histoires, ma mère pour les siennes. Mon frère, qui le premier a écouté les miennes.
Madame Joanna Martin, de la communauté micmaque de Gesgepegiag pour les traductions. Mes amis attikameks, cris, abénakis, innus, et les autres enfants de la Grande Tortue dont la rencontre fut pour moi si capitale.
Ma vieille chum de toujours, Ann, qui m’a prêté son nom et une chambre dans son appartement. T’es ma sœur.
L’ange gardien du phare de La Martre, Yves Foucreault, et celui du patrimoine de Carletonsur-mer, Pascal Alain. Vos enseignements furent indispensables.
Les gens de chez nous, peuple de ma mémoire, qui m’ont fourni un ou deux petits brins de laine pour tricoter la trame inventée de mon récit.
Mon commando Œil-de-Lynx : Kareen, Julie, Nathalie, Gilles, Louis, Éléonore et Catherine. Je vous aime.
Mon cher Quincy enfin, pour ses conseils balistiques et sa précieuse amitié.
Ah, oui. Merci André, d’y avoir cru.
Carleton-sur-mer, juillet 2005
Larouche, octobre 2007