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XÉNOGREFFES
Les greffes sur l'homme d'organes d'animaux ne seront sans doute pas généralisées, même si vient à se produire une pénurie des organes humains nécessaires. D'abord parce que les rejets resteront difficiles à combattre. Surtout parce que les risques* de transférer ainsi à l'homme des maladies* animales seront trop élevés.
La solution résidera dans la bionique*, jusqu'à ce que les embryons clones offrent des réserves d'organes.