Selon les besoins de chaque runner, ses goûts, préférences, habitudes de vie, il faut trouver la meilleure alimentation, à la fois savoureuse sur le plan organoleptique (odeur, visuel, saveur, texture…) et nutritionnellement viable.
Les quantités doivent être adaptées en fonction des caractéristiques de chaque coureur et de la charge d’entraînement. Ici, elles sont données pour des mangeurs moyens. Elles varieront donc de plus ou moins 50 % selon que les runners sont de gros ou de petits mangeurs et qu’ils sont sur 1 ou plusieurs runs par semaine.
Que vous soyez plus salé ou sucré-salé, cru ou cuit, mer ou terre, je vous livre quelques recettes gourmandes et équilibrées : il y en a pour tous les goûts.
Pour information, en amont de vos courses, sachez qu’il vaut mieux du cuit que du cru. En effet, la cuisson permet de faciliter la digestion des aliments (notamment les fruits et légumes). La faible teneur en matières grasses des denrées protéiques (poisson, viande) améliore la « vidange gastrique » (c’est-à-dire l’évacuation du contenu de l’estomac vers l’intestin où se réalise l’absorption des nutriments). En outre, la diminution de la quantité de fibres (céréales et produits céréaliers) diminue les surcharges digestives. Du coup, on se sent plus léger.
Pour une course, privilégiez les cuissons à la vapeur, à l’étouffée, à la plancha ou au four.
Enfin, un temps minimal de 2 heures (optimal : 3 heures) est conseillé entre le dernier repas et le run.