Maggie se réveille sur le canapé. Il est presque trois heures. Elle corne la page du polar. Il y a sûrement aussi dans le livre celui qui pose la question dérangeante : Qui l’a fait ? Qui est le meurtrier ?
La nuit est toute plate derrière les fenêtres. Elle est seule dans le stupide carré éclairé qu’est le salon.