La puissance intellectuelle d’un homme se mesure à la dose d’humour qu’il est capable d’utiliser.
Nietzsche a dit de nombreuses fois que l’humour était important, que c’était une véritable planche de salut qui permettait de faire face aux désagréments de la vie. Et il ajoutait pour conclure que l’homme souffrait tant qu’il avait été obligé d’inventer le rire.
Il lui arrivait même de douter de sentences dites avec trop de sérieux et qualifiait de fausse toute vérité qui n’avait été dite, au moins, dans un éclat de rire.
Considérons à présent les bénéfices thérapeutiques du rire, constatés par la médecine :
Le rire agit comme un anesthésique contre la douleur.
Le rire améliore la circulation sanguine et régule la pression artérielle.
Le rire est un exercice aérobique. Cinq minutes de rires équivalent à quarante-cinq minutes d’une pratique sportive douce.
Le rire masse les organes internes.
Le rire renforce les défenses et a un effet préventif sur les maladies.
Le rire réduit le stress et soulage de la fatigue.
Le rire libère des endorphines, les hormones du bonheur.
Le rire contribue à la détente musculaire et au bien-être.
Le rire aide à relativiser les problèmes.