L’homme est la cause créative de l’événement, le mobile principal animé d’un mouvement originel.
Dans leur ouvrage La Bonne Fortune, les économistes Alex Rovira et Fernando Trias expliquent pourquoi certains hommes sont plus chanceux que d’autres. Ce livre a été rédigé à la suite d’une grande enquête auprès de ceux qui, a priori, semblent favorisés par la chance.
Par le biais d’une fable racontant la mission que Merlin confia à ses chevaliers – partir à la recherche d’un trèfle à quatre feuilles, symbole de chance illimitée –, voici quelques conclusions tirées de ce livre :
La chance dure peu car elle ne dépend pas de nous. En revanche, la bonne chance, elle, dure toujours car elle ne dépend que de nous.
La volonté, la constance, et un peu de goût pour le risque sont les ingrédients de base de la bonne chance.
Ceux qui triomphent n’appartiennent pas à une race différente, c’est leur attitude qui est différente. La question importante à se poser, est la suivante : Que font-ils que je ne fais pas !
La chance n’est ni un objet extérieur ni le fruit du hasard : elle est le fruit de notre capacité à créer de nouvelles opportunités et à les développer nous-mêmes.