Basée sur des faits réels, La Compagnie des artistes est néanmoins une œuvre de fiction. Un ou deux personnages existent véritablement, mais la plupart sont le fruit de mon imagination.
À l’image des villes, un roman se compose d’histoires multiples et je suis redevable à un certain nombre de livres. En premier lieu, bien entendu, Fake, de Clifford Irving. The Art Forger’s Handbook d’Eric Hebborn fut une mine de renseignements sur l’histoire de la peinture et ses techniques, tout comme Color, A Natural History of the Palette, de Victoria Finlay.
Je dois beaucoup à Farah Farouque pour la visite des appartements de Cairo, et à Michael Varcoe-Cocks de la National Gallery of Victoria qui m’a permis d’examiner La Femme qui pleure. Merci à tous ceux de Scribe Publications, en particulier Aviva Tuffield et Ian See pour leurs brillants conseils éditoriaux. Enfin, un grand merci à mon épouse, Roslyn, pour son amour et sa patience si précieuse.
Pour un soutien tout différent, je voudrais aussi remercier l’Australia Council et la ville de Melbourne.