Je suis profondément reconnaissante de l’aide que m’ont apportée, pendant sept années, le Stanford University’s Chappell-Lougee Fellowship, l’American Dream Fellowship de la Fondation Merag, le Dean’s Graduate Research Fellowship de l’université de l’Iowa, et le Whited Fellowship.
Mille mercis à mon agent, Eric Simonoff, toujours si sûr et avisé, qui a soutenu ce roman. Et aussi à la merveilleuse équipe de WME, spécialement Raffaella De Angelis, Annemarie Blumenhagen, and Cathryn Summerhayes pour m’avoir si brillamment représentée devant le reste du monde.
Toute ma gratitude à mon éditrice, Jordan Pavlin, pour ses encouragements et ses conseils attentifs. Merci à tous chez Knopf pour leur enthousiasme sans limite. Et encore à Mary Mount et à chacun chez Viking UK.
Pour leur amitié inébranlable : Tina Kim, Allison Dill, Raina Sun, Becca Richardson, Bethany Woolman, Tabatha Robinson et Faradia Pierre.
Merci à toi, Christina Ho, première lectrice et amie chère, pour ta présence durant l’évolution difficile de ce livre et pour m’avoir persuadée, à chaque changement de cap, qu’il valait la peine de continuer.
J’ai eu aussi le privilège de passer deux années au Iowa Writers’ Workshop. Merci à vous, Deb West, Jan Zenisek et Connie Brothers.
Merci aussi à mes condisciples là-bas, spécialement à ceux qui m’ont offert conseils, encouragements et de délicieux dîners, parfois les trois dans la même soirée : Nana Nkweti, Clare Jones, Alexia Arthurs, Jorge Guerra, Naomi Jackson, Stephen Narain, Carmen Machado, Olivia Dunn, Liz Weiss et Aamina Ahmad.
J’ai eu la chance d’avoir des professeurs qui m’ont donné la conviction, même quand j’étais enfant, que mon rêve de devenir écrivaine était non seulement possible, mais une issue inévitable. Je ne les remercierai jamais assez pour leur soutien des premiers jours. Merci à tous. En Alabama : Amy Langford et Janice Vaughn. À Stanford : Josh Tyree, Molly Antopol, Donna Hunter, Elizabeth Tallent et Peggy Phelan. En Iowa : Julie Orringer, Ayana Mathis, Wells Tower, Marilynne Robinson, Daniel Orozco et Sam Chang. Et aussi à Sam Chang pour avoir cru en ce livre dès ses premières lignes, s’être assuré que j’avais tout le nécessaire pour travailler, et pour ce coup de téléphone en 2012.
Merci à Hannah Nelson-Teutsch, Jon Amar, Patrice Nelson, et, avec un souvenir ému, à Clifford Teutsch pour leur soutien et leur chaude hospitalité.
Je dois tout à mes parents, Kwaku et Sophia Gyasi, qui, comme tant d’immigrants, sont le symbole même du travail acharné et du sacrifice. Merci d’avoir dégagé un chemin pour qu’il nous soit plus facile de marcher. Merci à mes frères, Kofi et Kwabena, d’y marcher avec moi.
Encore un merci particulier à mon père et Kofi qui ont répondu à d’innombrables questions. En plus de leurs réponses et suggestions, parmi les livres et articles que j’ai consultés, il faut citer : The Door of No Return de William St. Clair, Mission from Cape Coast Castle to Ashantee de Thomas Edward Bowdich, The Fante and the Transatlantic Slave Trade de Rebecca Shumway, The Human Tradition in the Black Atlantic, 1500-2000 édité par Beatriz G. Mamigonian et Karen Racine, A Handbook on Asante Culture de Osei Kwadwo, Spirituality, Gender and Power in Asante History d’Emmanuel Akyeampong et Pashington Obeng, Black Prisoners and Their World, Alabama 1865-1900 de Mary Ellen Curtin, « From Alabama’s Past, Capitalism Teamed with Racism to Create Cruel Partnership » par Douglas A. Blackmon dans le Wall Street Journal, Twice the Work of Free Labor : The Political Economy of Convict Labor in the New South d’Alex Lichtenstein, « Two Industrial Towns : Pratt City et Thomas » de la Birmingham Historical Society, Yaa Asantewaa and the Asante-British War of 1900-1 par A. Adu Boahen, et Smack : Heroin and the American City par Eric C. Schneider.
Enfin, plus que tout, merci à Matthew Nelson-Teutsch, mon très cher et aimé lecteur, qui m’a apporté tout au long de l’écriture de ce roman l’intelligence, la bienveillance, la générosité et l’amour comme il le fait tous les jours de ma vie. Nous, ce roman et moi, nous lui devons beaucoup.