En avril 1877, lors de la discussion qui eut lieu au Conseil municipal de Paris à l’effet d’accorder un secours à la famille de Popp, fusillé à Mazas, quoiqu’il n’eût pris aucune part à la lutte, un conseiller, Dumas, dit « qu’après la rentrée des troupes, il fut, en sa qualité d’adjoint au maire du XIIe arrondissement, appelé à donner des permis d’inhumation pour plus de quatre cents personnes fusillées dans la prison de Mazas. Tous ces cadavres, parmi lesquels se trouvait peut-être celui de Popp fils, furent jetés dans un puits du cimetière de Bercy. Ce qui est certain, c’est que l’identité de ces personnes n’a pas été reconnue et qu’il n’y a pas eu d’acte de décès. »