Mes remerciements vont en premier lieu à ma famille et à mes très chers amis Martine Détrie-Perrier, Annie Schweitzer, Anne D’Hauwer, Monique Ferréol ainsi que Daniel et Suzanne Berrubé pour leur amitié, leurs conseils et/ou leurs relectures.
Ma gratitude s’adresse aux Prs Salima Ikram et Véronique Dasen, à André Schweitzer, Odette Prévôt, François Gourdon, Marie-Françoise Robert, Josiane Bardou, Yannick Lacaze, Ilinca Bartos, Marie Jouannic, Marc Chartier ainsi qu’aux Drs Frédéric Rouffet, Ivan Guermeur et Frederic Vink pour leurs contributions diverses fort appréciables.
Je tiens à remercier le Dr Thierry Bardinet, égyptologue, médecin en chirurgie dentaire et auteur du précieux ouvrage Les papyrus médicaux de l’Égypte pharaonique pour le temps qu’il a bien voulu consacrer à mes diverses interrogations ; Mesdames Amélie Bigot et Corinne Broucke, sages-femmes de profession, pour leurs précisions relatives aux symptômes relevés par les Égyptiens au moment de la naissance ; ainsi que les Drs Brigitte Dasso et Bernard Cavalie pour leur avis sur certains points relevant de l’obstétrique antique.
Mes plus vifs remerciements s’adressent également aux Prs Josef Wegner et Maarten Raven ainsi qu’aux Drs Marek Chlodnicki et Krzysztof Cialowicz qui m’ont gracieusement autorisée à reproduire dans cet ouvrage des documents particulièrement intéressants.
Je souhaite témoigner ma reconnaissance au Pr Fabrice d’Almeida dont le précieux soutien et la confiance ont contribué à l’obtention d’une bourse d’écrivain du Centre national des Lettres que je remercie vivement. Cette aide financière m’a permis de dégager du temps pour étudier en bibliothèque et travailler librement à la rédaction de ce livre.
Enfin, je souhaiterais remercier les institutions ayant accepté une libre reproduction de leurs objets : Mahmoud El Halwagy, Yasmin el-Shazly et Eman Amin du Musée égyptien (Le Caire), Alice Stevenson du Petrie Museum (Londres), Vincent Razanajao et Cat Warsi du Griffith Institute (Oxford), Annette Van Aken du musée Peabody d’Histoire naturelle (New Yaven) et le Metropolitan Museum of Art (New York).
À Martine Détrie-Perrier,
ma Mouthy de cœur