« … On en vint dans tout le pays à un tel excès de détresse que les chrétiens n’eurent pas horreur non seulement de manger les Turcs ou les Sarrasins morts, mais encore de dévorer les chiens qu’ils pouvaient saisir, après les avoir fait rôtir… »
Albert d’Aix-la-Chapelle1, vers l’an 1100
O quam misericors est Deus, pius et justus2.