31 octobre

Au Zimmer, rendez-vous avec Martine Meskel, la fille de Janine et Pierrot, timide, un peu inquiète à l’idée de me rencontrer. Elle est un trait d’union entre l’univers familial et celui de la philosophie. Normalienne, agrégée de philo, elle fut très active au sein du GREPH et se définit elle-même comme une derridienne. Elle évoque une photo qu’elle hésite à me montrer : Derrida à la fête des 80 ans de sa mère, s’étant affublé d’une fausse moustache à la Nietzsche.