Bref rendez-vous avec Marguerite, pour lui rendre les lettres qu’elle m’avait prêtées. Contrairement aux autres fois, elle est un peu abattue. Peut-être les vacances ne lui réussissent-elles pas davantage qu’à Derrida. Elle hésite encore à venir au colloque de Naples, que la date choisie rend douloureux : ce sera, jour pour jour, le cinquième anniversaire de sa disparition.
J’achève sans difficulté, et même avec un certain plaisir, le dossier de présentation pour Flammarion. C’est comme un nouveau pas vers l’écriture du livre.