REMERCIEMENTS

J’exprime toute ma gratitude à Raymond Boudon. Je n’aurais pas approfondi et mené ma réflexion jusqu’à son terme s’il ne m’avait pas manifesté vivement et à plusieurs reprises l’intérêt qu’il portait à mon travail. Et sa pensée m’a en permanence stimulé.

Je souhaiterais également témoigner mon infinie reconnaissance à Jean-Daniel Raynaud, pour son enseignement, sa lecture si attentive du manuscrit et ses observations pénétrantes, que je n’ai certainement pas su exploiter autant que j’aurais dû.

Je dois aussi beaucoup à Jean Padioleau qui m’a apporté, outre son soutien intellectuel, une aide précieuse dans mes relations avec le monde universitaire.

J’adresse tous mes remerciements aux personnes qui ont lu le manuscrit et m’ont fait part de leurs remarques ou sont intervenues pour m’aider : Michel Berry, Françoise Chevalier, Hervé Dumez, Ehrard Friedberg, Youssef Guiga, Henri Mendras, Francis Pavé, Claude Riveline, Jean Saglio, Jean-Claude Thoenig, Christian Thuderoz et Michel Villette.

Je souhaiterais enfin témoigner de ma reconnaissance envers Patrick Mignon, commandant de bord à Air France, chargé de sécurité des vols, pour ses commentaires précieux dans un domaine qui m’était étranger, et pour la relecture du manuscrit.

En dehors de mon travail de réflexion sociologique, j’exerce un métier opérationnel dans une grande entreprise industrielle. L’intérêt et l’ouverture d’esprit que cette entreprise a toujours manifestés à l’égard de mes publications ont constitué un climat favorable à ma démarche intellectuelle. Je lui en sais gré.

Si des erreurs (ni radicales ni persistantes, je l’espère !) se sont glissées dans cet ouvrage, il va de soi que j’en porte seul la responsabilité.