L’amour. Je crois que cette ombre, sans forme, travaille sans relâche à creuser le vide sous mon existence. Cela s’apparente à un tiraillement sourd, et parfois à une gêne dans la gorge et derrière les yeux, une faim impossible à rassasier. Ce n’est jamais dirigé contre quelqu’un en particulier. C’est là, qui m’oblige à saisir l’opportunité qui se présente, à accepter n’importe quoi, par peur toujours de voir la situation empirer jusqu’à l’inacceptable.