Remerciements

J’ai beaucoup de personnes à remercier, non seulement pour le soutien qu’elles m’ont apporté au cours de l’écriture de ce roman que je ne pensais pas être capable de finir, mais aussi pour avoir toujours été à mes côtés. La première personne que je tenais à remercier, c’est moi-même, parce que TU es la personne avec laquelle je discute et me dispute en permanence et, à bien des égards, il m’a fallu être en paix avec ces deux facettes de ma personnalité pour accoucher de ce livre. Alors merci, Candice, d’avoir coopéré avec Candice.

Merci à mes éditrices Katie Espiner et Alison Callahan pour votre patience, votre esprit, vos conseils et pour m’avoir guidée et aidée à pousser ma réflexion plus loin. Chacune à votre tour mais aussi ensemble, vous avez pleinement contribué à ce que j’écrive un roman sincère.

Merci à mes agents d’exception Jo Unwin et Deborah Schneider pour avoir fait avancer les choses ici et de l’autre côté de l’Atlantique et je remercie tout particulièrement Nisha Bailey pour tout ce qu’elle a fait, avec tant de gentillesse.

Cait Davies, Leanne Oliver, Maura Wilding, je n’arrive pas à croire que j’aie la chance de travailler avec les plus grands de ce milieu de dingues. Merci beaucoup pour tout ce que vous avez fait et continuez de faire depuis la sortie de Queenie.

Merci Zoe Yang de ne pas m’avoir laissée m’éloigner du monde de l’édition, merci ENCORE à Sophie Wilson pour tous les détails et erreurs que tu as décelés, Les Pennington s’en sortent tout seuls ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui sans ton œil de lynx.

Un immense merci à Hadil Mohamed et Mylène Mozas pour leur superbe travail !

Aux membres de ma famille avec lesquels je suis en contact, Nan, Maman, Selena, Claude, Esther et Sweetie, Kai, tata Heidi, merci de me supporter depuis 1989, même si je ne donne pas toujours de nouvelles. Et Sharmaine Lovegrove, ma grande sœur par adoption ! C’est incroyable tous les conseils, tout l’amour et toute l’attention que tu m’as donnés. Je ne le mérite vraiment pas.

Mes amis, comme vous le savez sûrement tous, je suis traversée par beaucoup d’émotions que j’ai du mal à maîtriser toute seule et c’est grâce à vous que je parviens à ne pas pleurer en permanence. Et tout particulièrement :

Hattie Collins, je ne sais pas ce que je ferais si je ne te racontais pas dans les moindres détails ma vie quotidienne. On n’avance pas sans peine, on apprend tout du long et je te suis reconnaissante d’être ma boussole.

Danielle Scott-Haughton, « Pimpin, Oh boy ! »1

Selcan Tezgel, pour le riz turc et tout le reste. Tu es bien plus spéciale que tu ne le crois.

Aimée Felone, l’agent du FBI sait pourquoi je t’adore mais si j’en parlais ici j’en dévoilerais trop.

Hayley Camis, mon âme sœur en général et surtout au niveau de l’astrologie. Je t’aime même quand tu me piques avec ta queue de Scorpion.

Emma Dennis-Edwards, ma partenaire de voyage préférée, merci pour le chaos absolu que représente ton amitié et pour les discussions de fin de soirée dans ta voiture.

Lemara Lindsay-Prince, ma super pote ! Pour ta cuisine, ta gentillesse, tout, vraiment tout. J’aime ton style vieil-oncle-caribéen-qui-regarde-le-monde-s’affairer-depuis-sa-chaise.

Yasmin Joseph, « Baaabe ! » Ça me prendrait des semaines de compiler ici toutes nos blagues de cette année alors, au lieu de ça, je te remercie d’apporter autant de force à ma vie.

Platinum Pussy Energy, mes bonnes copines, vous me faites vraiment avancer, vous savez ; Bolu Babalola, la plus intelligente et la plus sage ; Bridget Minamore, pour tes remarques frénétiques mais justes ; Daniellé Scott-Haughton, pour tes réflexions sincères ; Emma Dennis-Edwards pour m’avoir toujours fourni des renseignements (vrais ou faux) et encore une fois, sincèrement, pour le chaos.

Dave Evans, pour ton pragmatisme, pour tous les plats que tu m’as apportés, et pour tes petits commentaires surprises sur ce roman. Tu te surpasses pour moi et je t’en suis tellement reconnaissante !

Danielle Vitalis, comment fais-tu pour être aussi gentille, dis-moi ?

Ryan Bowes, si tu fais écouter à quiconque les messages larmoyants que je t’ai envoyés à quatre heures du matin, je serai obligée de te tuer, mais le simple fait de te les avoir envoyés te montre à quel point je t’aime et te fais confiance.

Isabel Mulinde, ma sœur, depuis et pour toujours.

Zezi Ifore, mon petit chat grognon enfoui dans sa pantoufle.

Tobi Oredein et Bola Awoniyi, je suis très heureuse d’avoir vu mon couple d’amis favori devenir ma famille préférée. C’était quelque chose de beau et d’inspirant.

Cicely Hadman, merci de m’aider à comprendre mes émotions depuis plus de dix ans.

Anya Courtman, pour avoir été mon amie pendant la moitié de ma vie. Ma poulette pour toujours.

Daniel Kaluuya, pour ta sagesse. Pour être si proche bien que tu sois toujours si loin.

Mannie Mensah, pour être la femme la plus stylée et la plus incroyable, toujours présente, toujours radieuse.

Morwenna Finn, pour plein de choses mais surtout pour s’occuper de mes plantes. Merci, ma belle.

Hannah Howard, je ne connais que toi qui sois capable de cerner mes problèmes aussi rapidement et avec autant de perspicacité.

Selina Thompson, en avant Birmingham !

Michael Cragg, encore merci pour les 200 livres que je te dois sans doute encore mais que tu es trop poli pour me réclamer.

Florie Mwanza, je serai heureuse le jour où on se mariera.

Edem Wornoo, quelle chance d’avoir trouvé un petit frère à ce stade de ma vie !

Jesse Armstrong, pour ta gentillesse sans faille et ton écoute inconditionnelle.

Caleb Nelson, merci du fond du cœur pour cette rixe à 30 contre 1 dont on a été témoins à Ruskin Park. Kim et la tenue de rechange ont vraiment sauvé mon été 2020.

Julian Ubobu, pour avoir toujours écouté mes messages confus au sujet de ce qui se passait ou m’agaçait telle ou telle semaine.

Obiama Ugoala, pour ton ouverture d’esprit et de cœur.

Lettice Franklin, pour n’être pas dupe et m’aimer malgré tout.

Eishar Brar, pour les renseignements sur l’astrologie et plein d’autres choses.

Polly Norton, pour être une source d’inspiration de tant de façons différentes.

Zainab et Indira, pour les lentilles, les feuilles d’amarante, pour m’avoir nourrie le ventre comme l’esprit. Zainab, tu es un puits de savoir sans fond ; Indira, une source inépuisable de gentillesse typique des Cancer.

Black Girls Book Club, pour tout ce que vous avez fait pour moi et pour nous toutes. Le monde de la littérature noire ne serait rien sans vous.

Zadie Smith, pour les courriels que tu m’as envoyés, tous plus sages et insolites les uns que les autres. J’adore.

Nikesh Shukla, pour ton soutien.

Sophie Francois et Michelle Nyangereka, merci de m’avoir respectivement aidée à gérer mon corps et mon esprit.

Les mères des autres, qui m’ont choyée lorsque j’en avais besoin : tata Alice, Janet Edwards, Sharon Young, Marilyn Lindsay-Waugh et Purllett Hogan.

Mes familles élargies, les Courtman, les Permaul, les Lovegrove, les Woodham, les Forrester, les Forrester-Brown, merci de m’avoir ouvert grands les bras.

Ma délégation new-yorkaise, Gregory Greene, Ashley Clark, Aminatou Sow, Somalia Seaton, Mateo Askaripour, Renée Chung, Joshua Thew : merci d’être mon foyer lorsque je suis loin de chez moi.

Tous ceux que j’ai remerciés ici, l’amour que je vous porte est infini. Je ne veux même pas imaginer ce que j’aurais été sans vous.

Je suis désolée si j’oublie quelqu’un, mais à l’heure où je tape ces lignes il est quatre heures du matin.

 

Et, évidemment, #BlackLivesMatter.