Je remercie Anthony Ballenato, qui a effectué pour ce livre de nombreuses recherches en anglais sur internet et qui m’a accompagnée à Londres et à la Library of Congress (LoC) de Washington.
Merci à Olivier Mannoni, traducteur des œuvres de Freud, qui m’a éclairée à de nombreuses reprises. Je remercie Isabelle Mons, germaniste et biographe de Lou Andreas-Salomé, pour l’aide qu’elle m’a apportée. Et aussi Christian Sommer, qui m’a aidée à analyser un écrit de Martin Heidegger sur Freud et la psychanalyse.
Merci à Lisa Appignanesi, à Dany Nobus et à toute l’équipe du Freud Museum de Londres qui m’ont accueillie chaleureusement. À John Forrester, professeur d’histoire et de philosophie des sciences à l’université de Cambridge, fin connaisseur de l’œuvre freudienne et des relations entre Freud et Minna Bernays. À Julia Borossa, directrice de programme en psychanalyse à l’université du Middlesex. Merci à Eric Willis, qui m’a reçue au crématorium de Golders Green à Londres.
Merci à Inge Scholz-Strasser et Daniela Finzi pour leur accueil au Freud Museum de Vienne.
Je remercie Margaret McAleer, conservatrice en chef du département des manuscrits de la Library of Congress, qui m’a aidée dans mes recherches. Et Anton O. Kris, directeur des Sigmund Freud Archives (SFA), qui a évoqué pour moi ses souvenirs. Et aussi François Delattre, ambassadeur de France aux États-Unis, qui m’a chaleureusement reçue. Je suis redevable à Catherine Albertini, attachée culturelle à l’ambassade de France aux États-Unis, pour son soutien et son enthousiasme. Je n’oublie pas l’aide que m’a apportée Jean-Louis Desmeure.
Je remercie Maurizio Serra, diplomate et biographe d’Italo Svevo, qui m’a aidée, tout au long d’un passionnant échange épistolaire, à bien saisir les relations entre Edoardo Weiss, Giovacchino Forzano et Bruno Veneziani. Merci à Albrecht Hirschmüller pour ses précieuses indications sur la vie de Freud.
Je remercie également Carlo Bonomi pour sa connaissance des relations de Freud avec la pédiatrie et pour tout ce qu’il m’a apporté à propos de la question des traumatismes infantiles. Guido Liebermann, historien de la psychanalyse en Palestine, m’a apporté des témoignages décisifs sur la vie de Max Eitingon. Je dois beaucoup à Patrick Mahony et à nos échanges depuis vingt ans. Je remercie Henri Rey-Flaud, qui a été présent tout au long de la rédaction de ce livre. Je n’oublie pas ma dette envers Carl Schorske et Jacques Le Rider.
Merci à Gilles Pecout, qui a accueilli mon séminaire sur l’histoire de la psychanalyse au département d’histoire de l’École normale supérieure. Et à tous les fidèles auditeurs qui ont suivi ce séminaire depuis plus de vingt ans. Merci à Thomas Piketty pour son évaluation de la fortune de Freud. Merci à Luc Fachetti pour sa patience et à Jean-Claude Baillieul pour la minutie de ses corrections. Je n’oublie pas le soutien que j’ai trouvé depuis tant d’années auprès d’André Gueslin au département d’histoire de l’université Paris VII-Diderot.
Un grand merci enfin à Olivier Bétourné, qui a édité et corrigé ce livre avec talent et enthousiasme.