Rien en effet n’en sortait et rien n’y entrait de nulle part — puisqu’il n’y avait rien d’autre — et il [ce tout, tónde tòn ólon] se nourrissait de lui-même par sa propre destruction, alors que tout ce qu’il supportait et œuvrait en lui-même et par lui-même avait lieu par art (ek téchnēs). Celui qui l’avait composé pensa en effet qu’il serait meilleur qu’il se suffît à lui-même et non pas qu’il fût besogneux d’autres choses.