Je ne remercierai jamais assez Meredith Monk pour son accueil et sa générosité. Pour son œuvre, aussi, qui ne cesse de m’accompagner.
Je remercierai indéfiniment Allison Sniffin pour la lumière : pour celle qu’elle ne cesse d’apporter à ma vie et pour son éclairage sur tout ce que j’ai observé, à New York et au-delà.
Merci à Katie Geissinger, Ellen Fisher, Yoshio Yabara, Hjørdis Linn-Blanford, Francisco et Elizabeth Núñez, Jo Stewart, Theo Bleckmann et bien d’autres, pour leur sympathie et le spectacle fascinant de leurs talents.
Merci à Peter Sciscioli, sans qui ces belles rencontres n’auraient pas été possibles.
Merci à Jean-Louis Tallon pour sa confiance, ses conseils, sa disponibilité, son enthousiasme et sa sympathie.
Merci à Claire Spiteri et à mon père, Didier Chiarello, qui ont relu avec patience mes dizaines de mails à Peter pendant les quatorze mois de notre correspondance, avant que je n’assume mon anglais approximatif.
Merci à Virginie Petracco, qui m’a exhortée à l’audace dans ce projet dès ses prolégomènes.
Merci à Stéphanie Sigward, Aline Nihoul, Claire Spiteri et Sophie Criquelion, ainsi qu’à mes parents, Thérèse et Didier Chiarello, pour leur présence et leur soutien quotidiens à distance pendant mon séjour à New York.
Merci enfin à Camille et Arnaud, qui m’ont sauvée de l’infernal JFK.