L’espace est un réservoir prodigieux de formes, coordonnées ou non en domaines, et d’informations, c’est-à-dire de « formes en voyage » qui passent sans y laisser aucune trace. Le temps « universel », considéré (incorrectement d’ailleurs) comme quatrième dimension, et comme récipient, lui aussi, d’informations, est encore plus prodigieux, puisqu’il « contient » toutes les informations spatiales présentes, mais aussi passées et futures.
Raymond RUYER, La Gnose de Princeton