Le ciment des pistes im-pra-Ti-cable. Certains d’entre nous vomissaient. L’odeur n’empêchant pas de percevoir plaintes et complaintes de l’année passée. Je me dirigeais vers la croix de pierre qu’entouraient des tourbes profondes, spongieuses et légères, cent fois retournées. Là, les morts, conquis par la décomposition des végétaux, préparaient leur fuite, misant sur l’arrivée d’un de ces soirs sombres (moi aussi j’ai le cœur sombre n’est-ce-pas !) les aidant ainsi à. Mais avec quelles jambes ? Sorties de placards vétustes et poussiéreux du plus ancien des hospices. Celui dit : des Incurables. Et pour quelles prothèses ? Demain viendra un autre jour. Demain où, s’il le faut, j’endosserai l’habit des prêtres, ces grands dévastateurs de l’Histoire.