Remerciements

Toute ma gratitude à Merilyn Simonds, qui a si généreusement travaillé avec moi, sans ménager ses efforts, pour faire avancer le manuscrit. Je serais prête à te donner un rein. Chaleureuses accolades et immenses remerciements à Michael Glassbourg, fan de la première heure et soutien indéfectible, qui a lu de nombreuses versions et m’a toujours incitée à continuer. Amour toujours à ma fille de la part d’une autre mère, Jessica Loyva, qui voulait juste voir son nom dans un livre. Amour et paix à Buffy Sainte-Marie, pour m’avoir donné l’autorisation d’utiliser les paroles de son hymne : « Starwalker ». Merci au Dr Charles Brasfield pour avoir été l’un des premiers à saisir toute l’étendue du mal qui a été fait à ces enfants. Merci à Jennifer Lambert pour avoir tout compris dès le premier instant. Je remercie également la merveilleuse Janice Zawerbny qui, grâce à son talent et à ses compétences, m’a permis de vivre une expérience éditoriale sereine et gratifiante. À mes chers amis Diana Davidson, Allan et Mona, Mary Goldie, Kym Gouchie, Judy Mosher, Lisa Riddle, Fiona Scott et Winona Wheeler, merci d’avoir été là pendant les jours sombres. Merci aussi à Len Marchand – tu sais pourquoi.

Tout mon amour à mon père, William Stanley Stiff, qui m’a transmis sa fascination pour la langue, l’envie de comprendre le pouvoir des mots et l’amour de la lecture.

Puisse ce roman rendre hommage à ma mère, Martha Eliza Soonias Stiff, qui a vécu l’enfer dans l’une de ces écoles. Sa ténacité m’a appris ce qu’était le courage. Ses histoires trouvent un écho ici.