Remerciements


La gestation et surtout la rédaction de ce roman ont été bien longues, et elles ont bénéficié, dans leurs commencements, de la générosité du Conseil des Arts du Canada et du Conseil des Arts et Lettres du Québec, que je tiens à remercier ici.

Écrire de la fantasy uchronique, surtout lorsqu’elle se déroule sur au moins deux continents, exige également des recherches, et j’y ai été aidée par plusieurs informateurs bien placés : les Français Antoine Dorcier, Jean-Claude Dunyach, Corinne Guitteaud, Sylvie Laîné, Patrick Marcel, Jean-Pierre Planque, André-François Ruaud, et le Québécois Jean-François Touchette – sans oublier le syndicat d’initiative de la ville de Mirepoix, dans l’Ariège. J’ai également discuté de plusieurs aspects spécifiques de mon univers inventé avec quelques oreilles compatissantes : Thibaud Sallé, Rodrigue Villeneuve. Enfin et surtout, j’ai torturé un certain nombre de pré-lecteurs, dont les commentaires m’ont été précieux : Jean-Claude Dunyach, Jean Pettigrew, Daniel Sernine, Jean-Pierre Vidal, et surtout Mario Tessier, qui s’est prêté de si bonne grâce au jeu des lectures (répétées) et des commentaires (détaillés).

Une gratitude toute particulière à mon vieux complice, Bertrand Méheust, dont les ouvrages n’ont jamais cessé de me titiller les neurones depuis près de trente ans et en particulier Somnambulisme et Médiumnité (SynthéLabo, coll. Les Empêcheurs de Penser en Rond, 1999). Et à Monique Plante, pour m’avoir signalé que Corneille n’est pas Ronsard.

Je voudrais enfin remercier celui qui m’a soutenue au cours de ce long et souvent difficile voyage : mon compagnon, Denis Rivard, pour tous les kilomètres parcourus à ma place ou avec moi, dans les univers réels ou inventés avec lui.