« LE CHÂTEAU porte le numéro 5. La façade de la maison est allongée par l’angle de la prise de vue, qui renforce l’effet de perspective, et surtout par la mise en scène qui l’encadre entre deux bouquets d’arbres, comme des montants de théâtre dissimulent les extrémités d’un palais supposé se prolonger en coulisses (…). La sixième fenêtre à partir de la gauche, au premier, dont les volets sont (symboliquement ?) clos, est celle de la chambre de Caroline » (p. 195).