MA MA MARINE

(LE POÈTE EST BÈGUE)

Les chars d’argent et de cuivre,—

Les proues d’acier et d’argent,—

Battent l’écume,—

Soulèvent les souches des ronces.

Les courants de la la la lande,

Et les ornières immenses du reflux,

Filent circulairement vers l’est,

Vers les piliers de la forêt,—

Vers les futs de la jetée,,,

Dont l’angle est heurtée par des tourbillons de lumière

MAMA RINE

(LE POÈTE EST MATERNEL)

Les chars d’argent et de cuivre,—

Les proues d’acier et d’argent,—

Battent l’écume,—

Soulevent les souches des ronces.

Les courants de la lande,

Et les ornières immenses du reflux,

Fils circulairement vers l’est,

Vers les piliers de la forêt,—

Vers les futs de la jetée,

Dont l’angle est heurtée par des tourbillons de lui mère.