Avertissement


Pour l’essentiel, les archives des années noires, y compris les dossiers nominatifs, administratifs ou judiciaires, sont aujourd’hui librement consultables. Certaines le sont depuis bientôt vingt ans. Rien n’interdit donc de divulguer le nom des dénonciateurs (ou supposés tels à la Libération) qui ont pu être identifiés. D’autant que, concernant ceux jugés lors de l’épuration, la presse (qui rendait compte, même brièvement, de la plupart des procès) ne se privait pas de le faire.

Nous avons cependant fait le choix de maintenir l’anonymat des personnes mises hors de cause par la justice (classement ou acquittement) – sauf, cas exceptionnels, lorsque nous avons retrouvé la preuve d’une démarche de leur part auprès du commissariat général aux Questions juives (CGQJ) ou d’une autre instance.

 

L’orthographe des lettres et sources citées n’a pas été modifiée. Les passages en italique sont soulignés dans les originaux.

Pour ne pas alourdir la lecture, l’indication sic ne suit pas les innombrables fautes qui encombrent ces documents, sauf lorsqu’il s’agit de noms propres.