« Dans les dix pour cent, je pense. J’ai eu une prise de bec à ce sujet avec un collègue qui me reprochait d’être trop optimiste. Je fais de mon mieux pour que ça passe à onze. Nous sommes sur la mauvaise voie, et il n’y a aucun signe indiquant que nous allons en changer. »
PAUL R. EHRLICH, professeur de biologie à l’université Stanford, à la question d’un journaliste du Süddeutsche Zeitung lui demandant à combien il estimait les chances de la civilisation occidentale de survivre à ce siècle.
« La vaste base de données […] permet de conclure que les gens réagissent trop lentement. »
JORGEN RANDERS, professeur de stratégie climatique à la BI Norwegian Business School, dans son rapport au Club de Rome 2052.