Comme toujours, c’est vous, chère lectrice, cher lecteur, que je remercie en premier lieu. Sans vous, je ne serais rien. Et je vous remercie aussi de votre compréhension pour ce chapitre de remerciements dont la forme diffère de l’habitude. Ma manière d’ordinaire plutôt humoristique de refermer un ouvrage ne me semblait pas adaptée au sujet de ce roman.
Je remercie tout particulièrement :
Stefan Lübbe, Marco Schneiders et bien sûr Klaus Kluge : il m’a ouvert les portes des éditions Lübbe et conduit à l’équipe professionnelle qui a fait de ce livre quelque chose de si particulier.
Regine Weisbrod, dont je sais au plus tard depuis cette collaboration que je ne veux la perdre pour rien au monde.
Manuela Raschke, sans laquelle j’atterrirais soit en prison, soit sous un pont. Merci pour ta confiance, ton travail et ton amitié, sans lesquels rien de tout cela ne serait possible.
Sabine et Clemens Fitzek pour leurs inlassables conseils médicaux, ainsi que Freimut Fitzek pour son si précieux soutien paternel.
Je remercie Frank Hellberg, qui m’a expliqué le trafic aérien européen, Roman Hocke, le meilleur agent littéraire du monde, et son équipe d’AVA-International.
Merci à Christian Meyer pour son soutien durant toutes ces années, et pas seulement durant les tournées de lectures ; Karl-Heinz Raschke pour ses expériences si inspirantes que j’ai toujours le droit d’utiliser dans mes livres.
Merci à Sabrina Rabow, ma merveilleuse attachée de presse personnelle.
Et merci bien sûr à Sandra, parce que tu supportes chaque jour ce que les autres ne doivent affronter que de temps en temps. Je crois que je ne me serais pas épousé moi-même.
Enfin, je remercie tous mes amis, mes connaissances et ma famille, qui sont désormais habitués à ce que je ne leur donne signe de vie qu’une fois tous les six mois, brièvement, quand j’émerge d’une phase d’écriture ou rentre d’une tournée de lectures. Je remercie également les libraires et les bibliothécaires ainsi que les milliers de personnes que je ne connais pas qui transportent le livre dans les librairies, l’installent sur les rayons, ou effectuent d’autres tâches importantes qui vous permettent finalement de pouvoir le lire.
Comme toujours, vous pouvez volontiers me faire part de votre avis à l’adresse fitzek@sebastianfitzek.de, ou me rendre visite sur ma page Facebook : www.facebook.de/sebastianfitzek.
Au revoir,
Sebastian Fitzek
Berlin, avril 2013