N’espérons plus, mon âme, aux promesses du monde :

Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde

Que toujours quelque vent empêche de calmer ;

Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre :

C’est Dieu qui nous fait vivre,

C’est Dieu qu’il faut aimer.

Malherbe