Cet essai doit beaucoup à Maurice Olender. Il n’a pas seulement joué à merveille le rôle de directeur de cette excellente collection. C’est en historien qu’il s’est engagé dans la réflexion, dans l’élaboration, dans la défense des idées qui sont proposées ici, avec la passion, l’intelligence et la culture qui sont les siennes.
J’ai été également remarquablement servi par la compétence, le talent et le dévouement des collaboratrices des Éditions du Seuil, à la demande de Maurice Olender. Il s’agit essentiellement de Séverine Nikel, coordinatrice du département de sciences humaines, de Cécile Rey, de Marie-Caroline Saussier et de Sophie Tarneaud.
J’ai aussi bénéficié des discussions et des conseils de certains historiens qui sont de très bons amis. Je pense surtout à François Hartog, l’éminent historiographe, à Jean-Claude Schmitt et à Jean-Claude Bonne, à leurs collaborateurs du Gahom, à l’École des hautes études en sciences sociales.
Je dois également beaucoup à Krzysztof Pomian et à Christiane Klapisch-Zuber.
Je n’aurai garde enfin d’oublier ma fidèle et chère amie Christine Bonnefoy qui, après avoir assuré mon secrétariat à l’École des hautes études en sciences sociales pendant de longues années, a repris effectivement du service pour rendre possible la matérialisation de ce livre.