Chap. 1 : Est-ce que le bonheur appartient aux êtres vivants autres que l’homme ?
Chap. 2 : Est-il légitime de considérer la sensation et la raison comme des critères du bonheur ?
Chapitres 3 et 4 : Définition du bonheur.
Chap. 3 : Le bonheur doit être placé dans la vie.
Chap. 4 : La possession par l’homme de la vie parfaite.
Chapitres 5 à 10 : Le bonheur du sage face aux maux.
Chap. 5, 1-9. Exposé initial de la difficulté : les maux ne remettent-ils pas en cause le bonheur ?
Chap. 5, 9-24. La place du corps dans la recherche du bonheur.
Chap. 6, 1-24. Il faut chercher à atteindre la fin unique qu’est le bien véritable et non pas les choses nécessaires.
Chap. 6, 24-32. Justification de cette exigence : on ne recherche les choses nécessaires que quand elles nous manquent.
Chap. 7, 1-14. Formulation de la thèse : le bonheur reste intact quand les maux surviennent.
Chap. 7, 14-47. Examen de la validité de cette thèse quand il s’agit de maux jugés importants.
Chap. 8, 1-9. Examen de la validité de cette thèse quand il s’agit de maux qui touchent personnellement le sage.
Chap. 8, 9-30. Spécificité de l’attitude du sage à l’égard des maux : la métaphore de l’athlète.
Chap. 9. La sagesse et le bonheur résistent à la perte de la conscience.
Chap.10. Excursus destiné à montrer l’indépendance de l’intellection à l’égard de la représentation et des activités par rapport à la conscience.
Chapitres 11 à 16 : Les caractéristiques de la vie du sage.
Chap. 11. La volonté du sage est tournée vers l’intérieur.
Chap. 12. Le plaisir est pour le sage la sérénité.
Chap. 13. La vision du bien par le sage n’est pas suspendue par la souffrance.
Chap. 14. Le sage méprise les biens corporels et les biens extérieurs.
Chap. 15, 1-9. Les biens corporels n’augmentent pas le bonheur du sage.
Chap. 15, 9-21. L’absence de peur du sage.
Chap. 15, 21-25. L’amitié du sage à l’égard de lui-même et des autres.
Chap. 16, 1-13. La relation du sage à l’Intellect.
Chap. 16, 13-29. L’attitude du sage à l’égard des autres choses et en particulier du corps : comparaison avec la conduite du musicien par rapport à sa lyre.