Comme l’a dit par le passé le grand Norman Lovett, aucun homme n’est une île, sauf quand il est dans son bain. En gardant cela à l’esprit, je dois remercier plusieurs personnes pour leur aide : Judith Atkinson de NECA, Hazel Waites, Deb Howe et Alison Robertson pour avoir supporté mes jérémiades. David Shelley pour sa bienveillance. Mon agent Caroline Montgomery et ma nouvelle éditrice Kate Lyall Grant, qui savent quand faire claquer le fouet et quand me dire que je suis merveilleux. Et, bien sûr, ma femme Linda. Pour tout cela à la fois.
Quelques publications qui m’ont été utiles : The Great Strike, de Alex Callinicos et Mike Simons. Dancing in Mid-Air – People and drugs in Blyth, édité par Barry Stone ; The Social Impact of Pit Closure de Dave Waddington, Bella Dicks et Chas Critcher ; Undermined – Oral Testimonies of the Miners’ Strike, par les membres des communautés minières du South Yorkshire ; Convicted at Birth de Jennifer Wynn, et l’excellent documentaire de Nick Davies, Drugs – The Phoney War, ainsi que les articles qui l’ont accompagné.
La ville de Coldwell est fictive, mais cela ne veut pas dire qu’elle n’existe pas. En ce qui concerne les endroits réels, je n’ai pas forcément toujours été très pointilleux. Ceci est une œuvre de fiction, ne l’oubliez pas. C’est ma vision du monde. Le groupe des peintres d’Ashington, lui, a bien existé. Leurs œuvres sont exposées au Woodhorn Colliery Museum d’Ashington, Northumberland.