Première photo : Portrait de Charles Marie Bonaparte, père de Napoléon. Peinture d’Anne Louis Girodet de Roucy-Trioson, 1805, détail. Versailles, musée du château. © DeAgostini/Leemage
Deuxième photo : Portrait de Laetitia Bonaparte, Madame Mère. Peinture de François Gérard, 1803. Malmaison, musée du château. © Photo Josse/Leemage
Portrait de « Buonaparte » en uniforme de lieutenant-colonel du premier bataillon de la Corse, en 1792. Peinture de Henri Félix Emmanuel Philippoteaux, 1834. Versailles, musée du château. © Photo Josse/Leemage
Bonaparte au pont d’Arcole, le 16 novembre 1796. Etude préparatoire d’Antoine Jean Gros, 1796. Paris, musée du Louvre. © Photo Josse/Leemage
Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa. Peinture d’Antoine Jean Gros, 1804. Paris, musée du Louvre. © Photo Josse/Leemage
Coup d’Etat du 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799) : Bonaparte au Conseil des Cinq-Cents à Saint-Cloud. Peinture de François Bouchot, 1840. Versailles, musée du château. © Photo Josse/Leemage
Le Premier consul, franchissant les Alpes, au col du Grand-Saint-Bernard, le 20 mai 1800. Peinture de Jacques Louis David, 1801. Vienne, Kunsthistorisches Museum. © Luisa Ricciarini/Leemage
Première photo (à droite) : Peinture de François Gérard, 1803. Chantilly, musée Condé. © Photo Josse/Leemage
Deuxième photo (à gauche) : Peinture d’Antoine Jean Gros, 1802. Paris, musée de la Légion d’honneur. © Photo Josse/Leemage
Signature du Concordat, le 18 juillet 1801. Joseph Bonaparte tend le document à son frère en présence du cardinal Consalvi et de Talleyrand. Peinture de Joseph Léon de Lestang-Parade, XIXe siècle. Versailles, musée du château. © Photo Josse/Leemage
Cambacérès présente à Napoléon le sénatus-consulte qui le proclame empereur des Français, le 18 mai 1804. Peinture de Georges Rouget (1784-1869), 1804. Versailles, musée du château. © Photo Josse/Leemage
Le tableau le plus célèbre de la période : le sacre de l’Empereur Napoléon Ier et le couronnement de l’Impératrice Joséphine à Notre-Dame de Paris, le 2 décembre 1804. Peinture de Jacques Louis David, 1806. Paris, musée du Louvre. © Photo Josse/Leemage
Le maître de guerre à son apogée. Austerlitz, le 2 décembre 1805 : le général Rapp présente les drapeaux pris à l’ennemi. Peinture de François Gérard, 1805. Versailles, musée du château. © Photo Josse/Leemage
La première alerte : la difficile bataille d’Eylau, le 8 février 1807… Peinture d’Antoine Jean Gros, 1807. The Toledo Museum of Art, Ohio. © FineArtImages/Leemage
… vite corrigée par l’éclatante victoire de Friedland, le 14 juin 1807. Peinture d’Emile, dit Horace Vernet (1789-1863), XIXe siècle. Versailles, musée du château. © Photo Josse/Leemage
L’apogée de Tilsit. Napoléon Ier accueille le tsar Alexandre Ier sur le Niémen, le 25 juin 1807. Peinture d’Adolphe Roehn. Versailles, châteaux de Versailles et de Trianon. © Costa/Leemage
Portrait en pied de Napoléon Ier dans son cabinet de travail aux Tuileries. Peinture de Jacques Louis David, 1812. Washington, National Gallery of Art. © Whiteimages/Leemage
Le Grand Empire contre les nations : El Dos de Mayo, ou la répression impitoyable à Madrid, le 2 mai 1808. Peinture de Francisco de Goya y Lucientes, 1814. Madrid, musée du Prado. © Photo Josse/Leemage
La dernière grande victoire : Wagram, le 6 juillet 1809. Peinture d’Emile, dit Horace Vernet, vers 1835. Versailles, musée du château. © Photo Josse/Leemage
Les hommes de l’Empire
Premère photo (gauche) : Le vice : Charles Maurice de Talleyrand-Périgord, ministre des Affaires étrangères, en habit de grand chambellan. Peinture de Pierre Paul Prud’hon, 1807. Paris, musée Carnavalet. © Photo Josse/Leemage
Deuxième photo (droite) : Le crime : Joseph Fouché, duc d’Otrante, en habit de ministre de la Police générale. Peinture d’Edouard Louis Dubufe, XIXe siècle. Versailles, musée du château. © Photo Josse/Leemage
Première photo (gauche) : L’ami : Louis Alexandre Berthier, prince de Neuchâtel et de Wagram, l’indispensable bras droit militaire. Peinture de Jacques Augustin Catherine Pajou. Versailles, châteaux de Versailles et de Trianon. © RMN-Grand Palais (Château de Versailles)/Gérard Blot
Deuxième photo (droite) : Le fidèle : Armand Augustin Louis de Caulaincourt, duc de Vicence, ambassadeur de France en Russie, qui tenta en vain de dissuader Napoléon Ier d’attaquer l’empire des tsars. Peinture de François Gérard, 1829. Collection particulière du comte et de la comtesse Louis-Amédée de Moustier de Caulaincourt de Vicence, château de Fontainebleau. © Manuel Cohen
Le divorce, le 15 décembre 1809. Peinture de Frédéric Henri Schopin. Londres, The Wallace Collection. © The Wallace Collection, Londres, Dist. RMN-Grand Palais/The Trustees of the Wallace Collection
La naissance : baptême du roi de Rome à Notre-Dame de Paris, le 10 juin 1811. Gravure d’Innocent-Louis Goubaud (1780-1847). Versailles, châteaux de Versailles et de Trianon. © RMN-Grand Palais (Château de Versailles)/Gérard Blot
La tragédie russe
Première photo (haut) : La bataille de la Moskova, le 7 septembre 1812. Peinture de Louis François Lejeune, 1822. Versailles, musée du château. © Photo Josse/Leemage
Deuxième photo (gauche) : L’incendie de Moscou, le 15 septembre 1812. Peinture d’Albrecht Adam, 1840. Moscou, State United Museum Centre in the Kremlin. © FineArtImages/Leemage
Troisième photo (droite) : La retraite de Russie. Peinture de Denis Auguste Raffet, 1856. Paris, musée du Louvre. © Photo Josse/Leemage
La fin du Grand Empire
Scène finale de la bataille de Leipzig, du 16 au 19 octobre 1813. In Napoléon de Georges Montorgueil. Illustration de Jacques Marie Gaston Onfroy de Bréville, dit Job, 1921. Collection privée. © Photo Josse/Leemage
Première photo (haut) : Napoléon à Fontainebleau lors de sa première abdication. Peinture de Paul Delaroche, 1845. Paris, musée de l’Armée. © Heritage Images/Leemage
Deuxième photo (bas) : Le vol de l’aigle... © Fondation Napoléon
L’assemblée du Champ-de-Mai, en juin 1815. Peinture de François Joseph Heim, 1847. Versailles, musée du château. ©Photo Josse/Leemage
Waterloo, 18 juin 1815. Sur la droite, Napoléon Ier observe les événements depuis la Belle-Alliance. Peinture de William Allan, 1843. © Heritage Images/Leemage
La dernière demeure. Vue de Longwood sur l’île de Sainte-Hélène, où vécut Bonaparte en exil. On distingue Napoléon, au centre, à l’entrée de la véranda. Aquarelle de Louis Marchand, valet de chambre et fidèle entre les fidèles, 1820. Malmaison, musée du château. © Photo Josse/Leemage
La fin…
Première photo (gauche) : Les « dictées ». Napoléon, couvert d’un madras et en tenue négligée, dicte ses Mémoires au général Gourgaud. Peinture de Charles Auguste Steuben, XIXe siècle. Collection privée. © Photo Josse/Leemage
Deuxième photo (droite) : La maladie. Peinture de James Sant, vers 1900. Glasgow, Kelvingrove, Art Gallery and Museum. © www.bridgemanimages.com
Troisième photo (bas) : La légende. Le tombeau de Sainte-Hélène, allégorie. Peinture de Jean Alaux, dit le Romain, 1821. Malmaison, musée du château. © Photo Josse/Leemage