Les auteurs avaient décidé que leurs lettres ne pourraient être lues avant l’an 2000, afin d’épargner la sensibilité de ceux qu’ils évoquaient avec la plus grande liberté de ton et d’esprit, pour le meilleur et pour le pire. Ce délai passé, nous les présentons au lecteur avec le moins d’aménagements possible, afin d’en préserver la valeur de témoignage, tant littéraire qu’historique.