Je me souviens, il y a longtemps, avoir cherché pour une rédaction un vers que j’aimais bien : « Ô temps suspends ton vol… »

Je voulais connaître la suite.

J’ai dû y aller par des chemins buissonniers.

Pour le trouver, j’ai cherché dans des anthologies de poésie où j’ai découvert de nouveaux poèmes.

J’ai appris qu’il était de Lamartine.

« Et vous heures propices suspendez votre cours. »

Aujourd’hui, avec mon ordinateur, je saurais tout de suite la provenance de ce vers.

Mais à l’autoroute, je préfère les chemins buissonniers. C’est plus long mais c’est plus beau. Dans le sentier on trouve des fleurs…