Immense merci à Doña Corinne pour son soutien et sa patience, ainsi que pour ses traductions en espagnol. Merci au commodore Mathias pour sa loyauté sans faille, et à l’équipage de La Volte pour sa persévérance et ses conseils. Merci enfin aux beta-testeurs, enrôlés volontaires pour essuyer les tempêtes d’un manuscrit agité.
Les poèmes d’Antonia lus à Santa Marta ont été écrits par Jeanne Julien. Merci à elle de m’avoir autorisé à user librement de sa plume et son talent.
Salutations respectueuses à Raynald « Le Diable Volant » Laprise, dont les travaux et avis à propos de la Tortuga au XVIIe siècle m’ont aidé à ciseler les détails de cette histoire. N’hésitez pas à visiter son site pour tout savoir ou presque de cette époque passionnante :