Faute de goût
J'en vois deux, mais énormes : l'incroyable mélasse de musique de patronage pseudo-classique interrompant la sacralisation du serment (pourquoi ne pas avoir célébré la grande musique de jazz noire par un concert endiablé, mieux qu'avec l'ancêtre fatiguée Aretha Franklin), et la pénible grosse poétesse, dont je n'ai pas pu entendre la prestation, puisque toutes les télés l'ont coupée. Zéro en musique, zéro en poésie. Quelle tristesse ! Quel manque d'oreille et d'espoir ! Quelle bible fermée ! Quel plomb durci !
25/01/2009