ette lettre, cher adoré, ne différera guère des autres, de toutes les autres et pourtant, je sais que tu l’attends avec la même impatience que lorsque tu espérais le premier mot de moi. Voici bientôt dix-huit mois. Fidèle à ma promesse, je te l’enverrai dès demain pour que ton attente ne soit pas déçue.
Ce soir, mon cher amour, je suis toute pleine de tendresse et je n’ai qu’un regret. Celui de ne pouvoir te dire, la tête sur tes genoux, tous les mots qui montent de mon cœur à mes lèvres. Je voudrais que tu fusses là ce soir, comme ce serait doux ! Nous nous retrouverions dans ce cadre enchanteur et ce grand lit où naquit notre amour serait trop vaste pour nous deux. Car ce serait étroitement serrée contre ton cœur que je te dirais ces phrases que seul le papier va recueillir ce soir. Et c’est toujours le même chant d’amour qui montera vers toi, qui t’enveloppera de sa douce harmonie, qui grisera tes sens, qui bercera ton cœur. Les mots, toujours les mêmes, t’apporteront encore le meilleur de mon cœur.
Je t’aime, mon cher aimé, à en perdre la raison. Tout mon être ne vit plus que de tes ardentes caresses. Le désir de ton corps me tourmente sans cesse et dans la solitude effroyable de mes nuits, je tends en vain mes bras vers toi mais je n’étreins que le vide, toujours le vide. Loin de toi, je me désespère et m’affole et seule ta présence calme l’angoisse de mon cœur. Je suis liée à ta chair par toutes les étreintes que tu m’as fait connaître et pour m’en arracher, jamais rien ne sera assez fort.
Tu es beau, mon amant, et je suis amoureuse de ta beauté. J’aime ton corps vigoureux et souple, tes bras qui m’enlacent et me serrent, tes cuisses puissantes qui pèsent sur ma croupe. J’aime tes lèvres voluptueuses dont les baisers brûlent ma chair et j’aime par-dessus tout au monde ce regard merveilleux de tes yeux magnifiques. Ah, ces yeux, comme ils ont su troubler mon cœur dès leur premier regard ! Quelle flamme brûlait donc en eux lorsqu’ils se posaient sur les miens aux premiers jours de nos rencontres ! Je les aimais déjà, tes yeux, avant de te connaître. Mais maintenant, je les adore car j’y vois passer le désir et l’amour et sous mes caresses ardentes, leur beau regard se trouble avant de s’éteindre avec la jouissance. Oui, tu es beau, Charles, et je suis fière de toi. Et je t’aime chaque jour davantage. Dans quelques jours à peine, je vais retrouver ton corps merveilleux. Avec un bonheur infini, je le couvrirai de baisers avant de le prendre dans une étreinte farouche car je ne sais si je saurai résister plus longtemps à l’envie que j’ai de t’enculer irrésistiblement, ma petite Lotte chérie. Voilà bien des semaines que tu ne m’as pas livré ton cul pour le percer de ma pine triomphante et j’ai le désir de renouveler cette étreinte audacieuse dont jadis tu étais si gourmand. Et je sais qu’elle hante aussi ton esprit car j’ai devant les yeux le suggestif dessin d’Arles. Ce n’est pas moi, dis-tu, mais que m’importe car je ne suis pas loin, à quelques pas de toi. Je suis couchée sur le dos, les cuisses écartées et une petite jeune femme, presque une enfant, suce mon con. Et tu regardes tandis que ton « amant » plante dans le trou de ton cul une énorme pine, la sienne. Et mutuellement excités par ces « complices » nous jouissons follement.
C’est bien ainsi, n’est-ce pas chéri, que tu voudrais faire ? Nous comblerions tous les deux un désir insensé dont l’idée nous poursuit. Mais ensuite, plus besoin de personne. Nous serions tous les deux et nous nous aimerions pour nous-mêmes. Oui, bien-aimé, j’aurai la force de vaincre ma résistance secrète et je te livrerai à cet amant dont tu rêves. Je me donnerai aussi, devant tes yeux, à ma maîtresse et tu sauras ainsi comment je t’aime mais il nous faut être patients car je ne vois guère le moyen de tenter l’aventure avant l’été.
Sauras-tu d’ici là te contenter de moi seule ? Tu sais quelle ardeur m’anime pour te faire jouir, mon aimé. Rien ne m’arrête et je te prouverai, bientôt sans doute, que je suis plus « cochonne » que jamais. Tu me livreras sans pudeur ton beau corps et mes baisers iront de tes seins à tes couilles, de tes lèvres à ta queue. Ma langue infatigable léchera, fouillera les replis de ton cul pour préparer la voie à la pointe raide de mon gros nichon. Connais-tu rien de plus excitant que te faire lécher la queue et le trou du cul en même temps tandis que tes couilles sont caressées d’une main leste ? Oui, je veux essayer de te faire décharger ainsi. Y parviendrai-je ? Je ne sais mais tu connaîtras une affolante sensation qui te fera bander ferme. Tu pourras alors sans relâche baiser mon con. Tiens, j’écarte bien mes cuisses et je place mes jambes sur tes épaules tandis que mes bras te tiennent aux reins. Enfonce bien vite ta belle queue qui bande dans le trou de mon con. Tu vas la sentir disparaître jusqu’aux couilles. Je l’arrose sans arrêt d’un flot de foutre abondant et ma chair se contracte follement autour de ta bite. Je décharge comme une belle salope, encore, encore. Ah, tu me fais jouir, salaud chéri. Oui, baise-moi encore et toujours, j’aime ça.
Veux-tu jouir entre mes gros nichons ou dans ma bouche ? Oui, tu aimes te faire sucer la queue, cochon. Tu aimes que je pompe le foutre de ton vit qui se dresse dans ma bouche. Allons viens, je vais te lécher la pine de toutes mes forces. Écarte tes cuisses, branle-toi devant mes yeux pour exciter mon ardeur. Saisis entre tes doigts ton membre qui s’énerve. Là, encore, encore. Tiens, je me branle aussi, regarde. Branle-toi bien chéri, branle ta queue (tu dois le faire en ce moment en lisant ces lignes ainsi que je le fais en les écrivant). Là, assez. Laisse-moi faire maintenant. Vois, mes doigts serrent ta queue tout près des couilles. Ma langue va de la tête gonflée aux testicules bruns. Elle avale la moitié de cette grosse pine. Ah, elle durcit dans ma gorge. Ah, je suce, tiens je suce. Là, vas-y, vas-y, décharge, décharge encore. Là, j’avale tout. Cochon, tu as bien déchargé et je t’aime.
Ah, je n’en peux plus Charles. Rien que d’écrire cela, je jouirais, tant je vois précise la scène que je viens de décrire. Mais non je ne veux pas jouir ailleurs que dans tes bras et je m’arrête.
Vendredi peut-être, samedi sûrement, nous nous retrouverons dans notre chambre et nous pourrons nous livrer à nos ébats favoris. Je t’aimerai avec une ardeur inlassable. Je sucerai ton trou, ta queue, tes seins et je m’assoirai sur ta pine pour qu’elle entre tout entière dans le fond de mon con. Me permettras-tu, pour une fois seulement, de t’enculer à nouveau ? Je serai sage et j’irai sans heurt mais je voudrais que tu redeviennes ma petite Lotte car j’ai peur que tu ne te lasses de nos caresses. Souviens-toi comme ma pine te faisait du bien dans le cul ! Elle te faisait bander et tu jouissais dans mon gros cul ensuite. Tiens, regarde-les mes fesses. Elles se tendent
au-devant de ta queue. Encule-moi. Ah, chéri, comme nous sommes cochons tout de même ! Où allons-nous et que sera-ce cet été lorsque nous serons libres ? Verrons-nous ensemble des scènes de débauche dont nous serons les spectateurs ou serons-nous acteurs dans d’autres scènes ? Quoi qu’il en soit, nous serons heureux, ne crois-tu pas Charles ?
Je t’aime, amour chéri, et je te le prouverai une fois de plus à notre prochain rendez-vous. Et toi, m’aimes-tu autant ? Tu m’as dit vendredi : « Tu sais bien qu’il n’y en a qu’une que j’aime. » Est-ce moi ou l’autre ? Dis-le vite. Dis-moi que tu es follement heureux dans mes bras, que je sais, moi seule, combler tous tes désirs, obéir docilement à tous tes caprices et que tu me garderas toujours à toi. Dis-le vite que tu m’adores. Tu ne m’as jamais dit si c’est moi que tu préfères pour les jeux de l’amour. Laquelle de nous deux sait le mieux te faire décharger, elle ou moi ? Dis-le au moins une fois mon amour. Je t’adore Charles, Lotte. À mardi, en attendant mieux. Je te baise follement mon cher amour, où tu veux.
Simone