Mon grand amour,
idèle à la promesse que je t’ai faite hier, je t’envoie la lettre demandée. Que puis-je te dire de plus pourtant, que tu ne saches déjà depuis longtemps, mon aimé ? N’ai-je pas encore exprimé, dans ma dernière lettre, tous nos désirs les plus ardents, les plus secrets, et ne sais-tu pas maintenant toutes les folies que nous ferons bientôt ?
Tu veux, une fois de plus, que je te fasse bander à distance, mon beau salaud chéri, et sans doute, au moment où tu liras ces lignes, seras-tu seul dans ton bureau, les cuisses bien écartées et la queue à la main. J’évoque le tableau en l’écrivant et je voudrais être présente au même instant pour la contempler de plus près.
Que sera-ce alors, mon amour, lorsque tu me verras saisir entre mes bras ma petite amie et que nous nous chevaucherons sur le lit dans une fougueuse étreinte ? Que sera-ce aussi lorsque devant tes yeux je sucerai une belle grosse pine ?
Oui, mon amour chéri, lorsque nous aurons avec nous un ou deux beaux complices, nous ferons mille folies. J’inventerai des caresses rares pour faire frémir toute ta chair. Lorsque vous banderez bien fort tous les deux, je frotterai vos pines l’une contre l’autre. Je mettrai vos deux glands bout à bout. Ce doit être une sensation exquise que de toucher de sa queue la queue d’un autre mâle. Ne crois-tu pas, aimé chéri ? Si je pouvais, vois-tu, je voudrais avoir la bouche assez grande pour vous sucer tous deux en même temps mais ce que je veux voir, c’est toi et ton « amant » vous suçant la queue mutuellement dans un « 69 » impressionnant. Nous, les deux autres, pendant ce temps, nous nous occuperons utilement car nous en ferons autant et l’on pourra voir alors deux couples confondus dans une débauche impossible à décrire. Si tu n’as pas confiance en l’habileté de cet homme pour te sucer, c’est moi qui le ferai et lui, en même temps, t’enculera de toutes ses forces jusqu’aux couilles. Je t’ai donné, la fois dernière, un avant-goût de cette étreinte rare et tu avais l’air de la trouver délicieuse. Nous la renouvellerons dans un prochain rendez-vous si tu le veux, mon aimé. Tu attendras ainsi, avec plus de patience, les jours à venir.
Tu sais que je suis prête à tenter avec toi toutes les aventures quelles qu’elles soient. Aucun geste, aucune idée ne me trouvera rebelle à te satisfaire car avant toute chose, je veux que tu goûtes entre mes bras des sensations si fortes que tu ne songes pas à me quitter pour les chercher ailleurs. Je n’hésite pas à te jeter entre les cuisses d’un beau mâle et pourtant si tu allais le préférer à moi ! Je sais quel sera ton plaisir, mon amour, lorsque tu sentiras dans ton cul ce morceau de chair bien dur qui fouillera en tous sens les replis les plus secrets. Tu sentiras cette tête énorme caresser lentement la paroi la plus
lointaine de ton ventre car la sensation est si forte que l’on croirait que l’homme est là dans
le ventre. C’est fou et c’est exquis. C’est énervant, merveilleux et tu ne peux avoir qu’une faible idée de la jouissance que procure cette queue qui décharge dans votre cul. À la minute précise, la queue se gonfle, se gonfle, et l’on sent ce jet tiède qui vous arrose. Ah, je risque fort de te perdre en te donnant cette passion car sauras-tu te contenter de mes faibles moyens lorsque tu auras joui ainsi avec la pine d’un homme dans ton trou ? C’est la plus belle preuve d’amour que je t’aurai jamais donnée, car j’y risque tout mon bonheur.
Ah, j’évoque déjà ta chair frémissante, tes cuisses bien écartées, ton trou grand ouvert et je vois le membre énorme que je te présenterai. Tu crieras de douleur d’abord mais lui, insensible et cruel, enfoncera sa pine d’un geste brutal et ce sont ses couilles seulement qui arrêteront son élan. Je te recevrai dans mes bras, sans forces, sans pensée et je serai bienheureuse car je t’aurai enfin comblé.
Car c’est cela que tu me demandes de te faire connaître, ma petite Lotte, n’est-ce pas ? Tu seras satisfait, je le sais, à moins qu’au dernier moment tu ne recules. Mais non, tu es un beau salaud et tu ne rêves que de pines, que de couilles. Entre mes bras, tu penses à cet amant qu’il faut que je te donne et tu trembles d’avance de désir mal contenu.
Comme ta pine doit être grosse en ce moment, mon aimé. Je la vois, je la devine dardant sa tête fière entre tes doigts. Que ne suis-je là pour la prendre dans ma bouche et te faire jouir passionnément, mon cher trésor.
Oui, j’aime te sucer, tu le sais. Aussi ne me refuse pas ce plaisir à notre prochain rendez-vous. Tu jouiras ainsi si tu le veux. Je mettrai toute ma science dans cette caresse et tu te pâmeras entre mes bras.
Et toi, mon aimé, tu m’auras auparavant baisée fougueusement. J’adore sentir ta belle pine dans mon con. Tu me fais jouir intensément et tu prolonges l’extase au-delà de mes espérances. Quand je sors de tes bras, je suis sans forces. Tu me vides jusqu’à la dernière goutte.
Si tu le veux, nous aurons cet été de belles heures. Nous pourrons passer quelques instants ensemble chaque soir avant de nous séparer ou bien tu viendras me retrouver dans ma « garçonnière ». Nous passerions une heure ensemble à nous aimer à notre aise, à faire mille folies. Le veux-tu, mon aimé ? J’inviterai ma petite amie et nous pourrons à nous trois faire toutes les saloperies possibles. Si nous trouvons un « salaud », nous l’amènerons aussi.
Mon cher chéri, pour te garder à moi, je suis prête à faire tout ce que tu me demanderas. Invente des plaisirs, dis-moi ceux qui te tentent et nous les goûterons ensemble.
Nous sommes liés, mon amour, par notre vice tout-puissant qui nous enchaîne l’un à l’autre pour notre plus grand bonheur. Conçois-tu maintenant l’amour sans toutes ces caresses exaltées et perverses ? Conçois-tu que tu pourrais aimer une maîtresse prude et calme ? Moi, je ne saurais pas faire l’amour avec un autre amant que toi
car l’idée d’appartenir à un autre homme me fait sourire. Tu m’as dit un soir : « Ce n’est pas l’envie qui t’en manque. » Ne crois pas cela, Lotte chérie, car je n’aime que toi, sois-en sûr. Les autres ont-ils pour me charmer tes beaux yeux profonds, tes lèvres tendres et chaudes qui savent si bien prendre ma bouche ? Ont-ils surtout ce corps merveilleux, cette peau satinée et tiède où j’aime tant poser ma joue ? Et cette belle queue grosse et dure qui fait merveille entre mes fesses ?
Mon petit trésor chéri, mon petit dieu, comme je t’aime et comme je suis heureuse ! Je te le prouverai bientôt je l’espère car j’ai très envie de toi, mon aimé. Et toi, ne veux-tu pas caresser mon corps, ne veux-tu pas baiser ardemment ce cul que tu adorais jadis ? Songe à toutes les belles extases que tu lui dois, à ce gros fessier bien blanc, bien ferme et comme tu l’abandonnes maintenant ! Tu veux ma bouche, uniquement ma bouche, pour te faire bander, pour te faire jouir, pour te sucer, grand salaud chéri.
Eh bien, viens dans mes bras, viens vite. Tu vas sentir dans une seconde les lèvres de ta maîtresse autour de ta queue et sa langue caresser savamment ton gland tandis que son membre postiche fouillera ton cul en tous sens, comme le fera bientôt sans doute la grosse pine de ton amant.
Inutile de te dire que maintenant je vais me coucher et comme toutes ces folies m’ont terriblement excitée ! Je vais me mettre nue sur la fourrure qui recouvre mon lit, et les cuisses bien écartées, le ventre tendu, je vais me branler vigoureusement en pensant à tout ce que tu me ferais si tu étais près de moi.
Au revoir, mon cher amour. J’espère que tu auras cette lettre lundi. Téléphone-moi vite pour me dire si elle t’a plu et si tu as le temps. Réponds-y longuement pour mardi.
À lundi, trésor chéri. Je t’adore.
Ta Simone
Mon cher trésor,
e fus fort triste tout le jour car ce matin la lettre que j’attendais n’était pas là. Mais ce soir, je suis récompensée car elle est enfin entre mes mains et jamais je n’en ai lu de mieux faite pour exciter mes sens. Si mes lettres te plaisent, mon amour, que dirai-je des tiennes ? Elles me mettent dans un état fou. Je viens donc de relire à mon aise les quatre pages passionnées que tu m’as remises et mon bouton est aussi raide que ta queue devant un spectacle suggestif. Je te retrouve tant, mon petit salaud chéri. Oui, tu es un beau vicieux et je ne t’en aime que davantage car tu me fais vivre des heures d’une volupté intense.
Un soir où tu seras libre, comme moi, nous goûterons ces folles ivresses qui nous hantent l’un et l’autre. Viens, j’ai grande envie de nous donner à chacun un compagnon de débauche, un pour toi qui t’enculera ainsi que tu le désires, un beau mâle bien vigoureux, bien monté, à qui tu pourras sucer la queue, caresser les couilles et qui te branlera de sa main nerveuse. Sous ses caresses brutales, tu sentiras tes forces s’échapper et lorsqu’il plantera sa pine dans ton beau cul, tu crieras de douleur et de jouissance tout à la fois tandis que je sucerai ta queue pendant que l’autre complice baisera mon con. Vois-tu la scène comme je la vois ? Tu es couché sur le côté. Ton « homme » t’encule. Moi à genoux devant toi, je te suce et l’autre complice me baise. Ce qui me plairait aussi, ce serait de me faire baiser et qu’en même temps je branle vigoureusement deux queues. Ah, je ne sais plus ce que je veux, tu me fais perdre la raison. Oui, peut-être, j’accepterai que devant moi tu baises un autre trou que le mien. Je verrai ta queue disparaître dans le con de mon amie pendant que je me branlerai. Mais j’aimerais que tu me voies lui sucer le con de ma langue habile à pomper le foutre. Je suis sûre que ta queue serait dressée dans un insatiable désir à la vue de cette scène. Et c’est à ton tour que tu viendrais offrir ton membre à l’ardeur de mes baisers. Je suis heureuse mon aimé que tu éprouves d’aussi troublantes sensations entre mes bras et rien ne me plaît tant que de sucer
ta belle pine après qu’elle m’a bien fait jouir. Quand elle sort de mon con, elle est si dure qu’elle semble vouloir éclater sous la force du foutre et c’est pour moi une jouissance incomparable que de la vider. Oui, je mets toute ma science dans ce geste car je l’adore. Te sucer est pour moi la meilleure caresse. Je bande en y pensant.
Tu me feras mourir de volupté en attendant les débauches que nous nous promettons. Je serai plus vicieuse, plus passionnée que jamais et je t’exciterai par mes propos et mes gestes pervers. Ah, je veux me vautrer sur ta chair qui m’affole, sentir ta queue baiser mon con, me branler avec sa tête fière et dure. Oui, je veux ton cul, ma Lotte chérie. Viens te faire enculer, viens pousser sur mon membre ton trou vibrant et sens ma pine entrer en toi profondément. Un soir tu sentiras couler le foutre d’une bite vibrante et du défailliras sous la jouissance inconnue. Baise-moi, salaud chéri, fais-moi crier de volupté sous la poussée de ton membre. Et viens me donner ta queue. Enfonce-la dans ma gorge, je la suce, je la mords. Ma langue et mes lèvres la caressent et l’aspirent. Sens comme je sais bien te sucer, mon amour. Jouis dans ma bouche, décharge. Moi, je me branle et nous partirons ensemble. Oui, je sais que tu aimes te faire sucer. C’est pour cela que je veux toujours t’aimer ainsi. Délaisse mon cul, jouis dans ma bouche et je ne m’en plaindrai pas. J’avale tout. Lundi, tu me donneras ton cul. Je veux te faire jouir sous mes étreintes, Lotte chérie, adorable petite maîtresse que j’adore de plus en plus, je colle ma bouche à ton trou délicieux et je l’aspire tout entier dans ma bouche. Toi, baise-moi jusqu’aux couilles et suce le foutre de mon bouton qui coule à flots sous tes coups de langue.
Donne-moi tout toi. Je pose mes lèvres attendries sur tes yeux adorés.
Simone